Drogue et désir
Comment vous expliquer les tréfonds de ma peine ?
Quand chaque soupir transi deviens un ouragan...
Vous dire que si mes yeux sont injectés de sang
Ce n'est pas de la came, mais trop de larmes dans mes veines
Je vais vomir mon désir, gerber tout mon amour
Comme une flaque inutile sur un sol délavé
J'en ai trop mal aux tripes de l'avoir trop porté
Comme un ulcer amer sans espoir de secours
De la came dans ma tête, trop d'amour dans mon coeur
J'en peut plus de sentir ces effluves fugaces
Trop de chaleur en moi dans ma prison de glace
Je me crée un manteau dans mon tissus d'erreurs
Et je transpire du sang, et j'ai les reins en feu
De mes os calcifiés par mon désir trop fort
On veut me le restreindre, mais j'en demande encore !
Tu vois pas que j'en crève ? Tu vois pas que je te veux ?
Et je ravale encore, et ma langue, et mon sexe,
Et ces pensées perfides par qui je suis vivant
Sous le regard outré de cette masse de passants
Refusant toute approche de sentiments complexes
De sordides pantins sans esprit cognitif
Inaptes à écouter leur coeur qui sonne faux
Moi, je préfère encore souffrir de mille maux
Et m'écorcher les ailes, brûler, le coeur à vif !
La citation du jour : Frederic Beigbeder, "L'homme qui regardait les femmes, 1", from Nouvelles sous ecstasy : "Pourquoi laisse-t-on les filles de seize ans se balader en liberté sur les bords de mer ? Leur gorge tendue, leurs fesses cambrées, leurs lèvres heureuses de sucer un esquimau à la fraise, leur colonne vertébrale soyeuse, leurs clavicules fragiles, leurs cheveux mouillés, leurs dents blanches comme l'écume, leur fente étroite, leur langue fraîche, la marque blanche de leur maillot, leurs petits pieds aux orteils vernis, leurs seins en adéquation avec ma main..."
La chanson du jour : This is a Lie, The Cure, "Why each of us must choose I've never understood One special friend One true love Why each of us must lose everyone else in the world"
Même si les douleurs de l'âme sont les plus profondes, la vie est belle !
Quand chaque soupir transi deviens un ouragan...
Vous dire que si mes yeux sont injectés de sang
Ce n'est pas de la came, mais trop de larmes dans mes veines
Je vais vomir mon désir, gerber tout mon amour
Comme une flaque inutile sur un sol délavé
J'en ai trop mal aux tripes de l'avoir trop porté
Comme un ulcer amer sans espoir de secours
De la came dans ma tête, trop d'amour dans mon coeur
J'en peut plus de sentir ces effluves fugaces
Trop de chaleur en moi dans ma prison de glace
Je me crée un manteau dans mon tissus d'erreurs
Et je transpire du sang, et j'ai les reins en feu
De mes os calcifiés par mon désir trop fort
On veut me le restreindre, mais j'en demande encore !
Tu vois pas que j'en crève ? Tu vois pas que je te veux ?
Et je ravale encore, et ma langue, et mon sexe,
Et ces pensées perfides par qui je suis vivant
Sous le regard outré de cette masse de passants
Refusant toute approche de sentiments complexes
De sordides pantins sans esprit cognitif
Inaptes à écouter leur coeur qui sonne faux
Moi, je préfère encore souffrir de mille maux
Et m'écorcher les ailes, brûler, le coeur à vif !
La citation du jour : Frederic Beigbeder, "L'homme qui regardait les femmes, 1", from Nouvelles sous ecstasy : "Pourquoi laisse-t-on les filles de seize ans se balader en liberté sur les bords de mer ? Leur gorge tendue, leurs fesses cambrées, leurs lèvres heureuses de sucer un esquimau à la fraise, leur colonne vertébrale soyeuse, leurs clavicules fragiles, leurs cheveux mouillés, leurs dents blanches comme l'écume, leur fente étroite, leur langue fraîche, la marque blanche de leur maillot, leurs petits pieds aux orteils vernis, leurs seins en adéquation avec ma main..."
La chanson du jour : This is a Lie, The Cure, "Why each of us must choose I've never understood One special friend One true love Why each of us must lose everyone else in the world"
Même si les douleurs de l'âme sont les plus profondes, la vie est belle !
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