A quoi reconnait-on un bon film ?
Mon lundi matin vient de commencer par une bonne nouvelle cinématographique. La dernière remontait à quelques semaines, lorsque j'ai vu le trailer de Constantine (le privé de l'occulte de Hellblazer chez Vertigo) qui a réussi à me réconcilier avec Keanu Reeves après les deux dernières bouzes que l'on sait (premier indice pour ma question "A quoi reconnait-on un bon film ?" --> "il ne ressemble ni à Matrix 2, ni à Matrix 3").
La nouvelle bande annonce qui me fait méchamment baver, ce n'est pas celle du dernier Tim Burton (quoique j'ai sacrément hâte aussi de voir ce film d'animation) ni le dernier-qui-vient-avant-le-premier-qui-est-le-quatrième-en-fait Star Wars (à voir en anglais absolument pour le "Riiiiiiiiiiiiiiiiiiiise") mais l'annonce de la sortie incessamment sous peu de MirrorMask, un film co-scénarisé par Neil Gaiman.
Pour peu que vous suiviez un peu ce qui se passe ici, Neil Gaiman est pour moi l'un des meilleurs (si ce n'est *LE* meilleur) écrivain contemporain encore en vie. Très probablement subjectif comme jugement, et tout aussi probablement lié au fait que la plupart de ses écrits peuvent soutenir une double étiquette "épique"/"imaginaire" qui, soutenue avec brio, est un ticket d'entrée facile dans le Panthéon des livres que j'aime.
Après avoir délicatement épongé toute la salive répandue sur mon lit pendant le visionnage du trailer, je me suis interrogé pour comprendre quel détail, outre le nom de Gaiman, avait réussi à instaurer en moi une telle certitude du fait que ce film sera un monument. Lorsque j'ai eu une piste, je l'ai élargie, pour me rendre compte que cette petite règle pouvait probablement être étendue à une grande majorité des films nous venant d'Outre-Atlantique (ATTENTION : cette petite règle n'est en aucun cas la seule et unique raison qui ferait d'un film un bon film ou un bide, mais c'est un bon indice à suivre) :
Regardez l'actrice principale. Une illustre inconnue. Et clairement, pas une "bombe". Alors bien sûr, elle n'est pas moche, loin s'en faut, mais soyons francs, ce n'est ni Monica Bellucci, ni Natalie Portman. Et souvent, quand le film est un flan, l'acteur ou l'actrice principal(e) est un piège à désir afin de remplir quand même les salles obscures. Mais qu'un film risqué (monde imaginaire, tout ça, pas d'explosions ni de voitures ni de gros flingues ni de sexe dans le trailer) se permette de brandir une mademoiselle Jane-average en tête de gondole, c'est que c'est bien l'histoire et l'essence même de ce film qui vont en être le coeur. Et moi du coup, j'ai hâte de le voir...
La citation du jour : "Mici pour la photo"
La chanson du jour : Lazy, Noir Désir, "I can't deal with what's in your mind Anyway, I'm tired and I feel lazy"
Même si avoir une place pour U2 risque d'être encore plus difficile que pour le Elevation Tour, la vie est belle !
La nouvelle bande annonce qui me fait méchamment baver, ce n'est pas celle du dernier Tim Burton (quoique j'ai sacrément hâte aussi de voir ce film d'animation) ni le dernier-qui-vient-avant-le-premier-qui-est-le-quatrième-en-fait Star Wars (à voir en anglais absolument pour le "Riiiiiiiiiiiiiiiiiiiise") mais l'annonce de la sortie incessamment sous peu de MirrorMask, un film co-scénarisé par Neil Gaiman.
Pour peu que vous suiviez un peu ce qui se passe ici, Neil Gaiman est pour moi l'un des meilleurs (si ce n'est *LE* meilleur) écrivain contemporain encore en vie. Très probablement subjectif comme jugement, et tout aussi probablement lié au fait que la plupart de ses écrits peuvent soutenir une double étiquette "épique"/"imaginaire" qui, soutenue avec brio, est un ticket d'entrée facile dans le Panthéon des livres que j'aime.
Après avoir délicatement épongé toute la salive répandue sur mon lit pendant le visionnage du trailer, je me suis interrogé pour comprendre quel détail, outre le nom de Gaiman, avait réussi à instaurer en moi une telle certitude du fait que ce film sera un monument. Lorsque j'ai eu une piste, je l'ai élargie, pour me rendre compte que cette petite règle pouvait probablement être étendue à une grande majorité des films nous venant d'Outre-Atlantique (ATTENTION : cette petite règle n'est en aucun cas la seule et unique raison qui ferait d'un film un bon film ou un bide, mais c'est un bon indice à suivre) :
Regardez l'actrice principale. Une illustre inconnue. Et clairement, pas une "bombe". Alors bien sûr, elle n'est pas moche, loin s'en faut, mais soyons francs, ce n'est ni Monica Bellucci, ni Natalie Portman. Et souvent, quand le film est un flan, l'acteur ou l'actrice principal(e) est un piège à désir afin de remplir quand même les salles obscures. Mais qu'un film risqué (monde imaginaire, tout ça, pas d'explosions ni de voitures ni de gros flingues ni de sexe dans le trailer) se permette de brandir une mademoiselle Jane-average en tête de gondole, c'est que c'est bien l'histoire et l'essence même de ce film qui vont en être le coeur. Et moi du coup, j'ai hâte de le voir...
La citation du jour : "Mici pour la photo"
La chanson du jour : Lazy, Noir Désir, "I can't deal with what's in your mind Anyway, I'm tired and I feel lazy"
Même si avoir une place pour U2 risque d'être encore plus difficile que pour le Elevation Tour, la vie est belle !
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