Encore une crise (mais vous commencez à avoir l'habitude)
Mal, marre, peur, besoin, mal, mal, mal...
Courir à travers les administrations, perdre le sens, la raison et le temps, se poser des questions, se remettre en question mais… quelle était la question ?
Le ventre qui fait mal et qui vrille, insolente, indolente douleur… paradoxale ?
Besoin de câlins et de tendresse, de la vraie… Marre d’être vénéré sans profondeur par des idiots, d’être craints par certaines fleurs que je voudrais tant respirer. Besoin de peau qui cherche la mienne comme je cherche cette peau.
Marre aussi, parfois, de ces petits papillons qui se posent sur moi, de ces jeunes filles si belles qui font semblant d’être poly (et polies) mais qui ne couchent avec moi que parce que –souvent contrairement à leurs mecs habituels– je peux et je sais les faire jouir presque sans réfléchir, et qui sont aussi « non-exclusives » jusqu’au moment où elles se trouvent un mâle correspondant plus à leur image, putain d’image, et qui s’éloignent de moi, et qui reviennent vers moi quand ils se séparent sachant très bien, trop bien que je suis trop con, ou trop amoureux de l’amour, pour leur fermer mes bras.
Mais marre et mal de donner de la tendresse et de ne recevoir que du sexe, même si elles croient que c’est donner plus, je n’ai jamais si peu reçu. Je vais finir par me forcer à baiser comme un mec comme ça même elles ne reviendront plus.
Un vide qui me ronge et je repense à elle(s), à eux, et au creux de mes reins le feu ne brûle que pour faire mal. Et j’ai besoin de bras qui me serrent alors que je les serre. Besoin de liberté ; d’être seul, mais pas solitaire.
Et je voudrais quelqu’un qui comprenne que ce dont j’ai le plus besoin en ce moment, c’est d’une soirée dans un lit à se faire des papouilles et des bisous, pas forcément de sexe, juste de la tendresse, de la vraie… La rondeur de deux fesses contre mes reins sans forcément l’envie de les pénétrer. Envie d’avoir quelqu’un de chaudement endormi à mes côtés au réveil pour avoir un corps à serrer, à réveiller de murmures et de baisers soufflés, un peu de chaleur pour faire reculer un peu ce froid horrible que je sens grandir en moi… J’ai si froid, si froid…
La citation du jour : « Ah t’es prêt ? Parce que finalement c’est pas la peine »
La chanson du jour : London Rain, Heather Nova, « Keep me in your bed all day »
Même si je donne tant de chaleur que je vais finir gelé, la vie est belle !
Courir à travers les administrations, perdre le sens, la raison et le temps, se poser des questions, se remettre en question mais… quelle était la question ?
Le ventre qui fait mal et qui vrille, insolente, indolente douleur… paradoxale ?
Besoin de câlins et de tendresse, de la vraie… Marre d’être vénéré sans profondeur par des idiots, d’être craints par certaines fleurs que je voudrais tant respirer. Besoin de peau qui cherche la mienne comme je cherche cette peau.
Marre aussi, parfois, de ces petits papillons qui se posent sur moi, de ces jeunes filles si belles qui font semblant d’être poly (et polies) mais qui ne couchent avec moi que parce que –souvent contrairement à leurs mecs habituels– je peux et je sais les faire jouir presque sans réfléchir, et qui sont aussi « non-exclusives » jusqu’au moment où elles se trouvent un mâle correspondant plus à leur image, putain d’image, et qui s’éloignent de moi, et qui reviennent vers moi quand ils se séparent sachant très bien, trop bien que je suis trop con, ou trop amoureux de l’amour, pour leur fermer mes bras.
Mais marre et mal de donner de la tendresse et de ne recevoir que du sexe, même si elles croient que c’est donner plus, je n’ai jamais si peu reçu. Je vais finir par me forcer à baiser comme un mec comme ça même elles ne reviendront plus.
Un vide qui me ronge et je repense à elle(s), à eux, et au creux de mes reins le feu ne brûle que pour faire mal. Et j’ai besoin de bras qui me serrent alors que je les serre. Besoin de liberté ; d’être seul, mais pas solitaire.
Et je voudrais quelqu’un qui comprenne que ce dont j’ai le plus besoin en ce moment, c’est d’une soirée dans un lit à se faire des papouilles et des bisous, pas forcément de sexe, juste de la tendresse, de la vraie… La rondeur de deux fesses contre mes reins sans forcément l’envie de les pénétrer. Envie d’avoir quelqu’un de chaudement endormi à mes côtés au réveil pour avoir un corps à serrer, à réveiller de murmures et de baisers soufflés, un peu de chaleur pour faire reculer un peu ce froid horrible que je sens grandir en moi… J’ai si froid, si froid…
La citation du jour : « Ah t’es prêt ? Parce que finalement c’est pas la peine »
La chanson du jour : London Rain, Heather Nova, « Keep me in your bed all day »
Même si je donne tant de chaleur que je vais finir gelé, la vie est belle !
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