Miroir déformant
Les examens terminaux approchant à grand pas, mon esprit se sert de tous les artifices possibles pour s'aérer la tête et éviter le bourrage de crane. Surtout en linguistique. Déjà un bourrage de crâne, c'est fâcheux, mais un bourrage de linguistique c'est comme un bourrage papier sur une photocopieuse vieille de dix ans alors que la personne qui attends derrière toi est un biker black de 2m10 colérique et hyper pressé.
Du coup, je lis vite et beaucoup, et en ratissant large. Je me replonge dans L'énergétique psychique de Jung (oui, même ça c'est plus simple que la linguistique), j'ai relu une quarantaine de vieux X-Men et de Doctor Strange, Sorcerer Supreme, je m'attaque aux particules élémentaires de Houellebeck (et je dois pour l'instant m'avouer décu), et surtout, lundi soir, j'ai lu d'une traite un livre absolument merveilleux que je vous recommande chaudement via ma fiche de lecture : Mémoire de mes putains tristes, de Gabriel García Márquez.
J'écris, également, et j'ai accouché dans la douleur de ma dernière nouvelle. Toute ressemblance avec des faits ou des personnes réelles ne serait absolument pas fortuite du tout, vu que c'est absolument fait exprès. Merci à Sabrina, Karen, Jeremy et Fanny pour m'avoir aidé après la perte des eaux, et avoir mis le doigt sur les quelques maladresses et tournures grammaticales erronnées qui s'y étaient glissé. S'il en reste, c'est entièrement de ma faute et pas de la leur puisque j'ai encore retravaillé la version finale après leur passage au crible, changeant un mot par-ci, rajoutant un paragraphe par-là. Vos commentaires sont les bienvenus, ainsi que vos critiques constructives, par contre je préviens que je ne répondrai à aucune question visant à déterminer le vrai du faux dans mon texte. Je préviens, c'est assez long, mais si le coeur vous en dit vous pouvez lire "Eve" ici
Mes lèvres sur sa peau nue dans la moiteur d'un mercredi de printemps. J'en meurs encore et mes mots saignent, mais rien, rien n'est plus doux que sa peau nue sous mes lèvres.
La citation du jour : "Aie mais tu piques !"
La chanson du jour : The Kiss, The Cure, "Oh kiss me kiss me kiss me, your tongue's like poison"
Même si les partiels approchent, la vie est belle !
Du coup, je lis vite et beaucoup, et en ratissant large. Je me replonge dans L'énergétique psychique de Jung (oui, même ça c'est plus simple que la linguistique), j'ai relu une quarantaine de vieux X-Men et de Doctor Strange, Sorcerer Supreme, je m'attaque aux particules élémentaires de Houellebeck (et je dois pour l'instant m'avouer décu), et surtout, lundi soir, j'ai lu d'une traite un livre absolument merveilleux que je vous recommande chaudement via ma fiche de lecture : Mémoire de mes putains tristes, de Gabriel García Márquez.
J'écris, également, et j'ai accouché dans la douleur de ma dernière nouvelle. Toute ressemblance avec des faits ou des personnes réelles ne serait absolument pas fortuite du tout, vu que c'est absolument fait exprès. Merci à Sabrina, Karen, Jeremy et Fanny pour m'avoir aidé après la perte des eaux, et avoir mis le doigt sur les quelques maladresses et tournures grammaticales erronnées qui s'y étaient glissé. S'il en reste, c'est entièrement de ma faute et pas de la leur puisque j'ai encore retravaillé la version finale après leur passage au crible, changeant un mot par-ci, rajoutant un paragraphe par-là. Vos commentaires sont les bienvenus, ainsi que vos critiques constructives, par contre je préviens que je ne répondrai à aucune question visant à déterminer le vrai du faux dans mon texte. Je préviens, c'est assez long, mais si le coeur vous en dit vous pouvez lire "Eve" ici
Mes lèvres sur sa peau nue dans la moiteur d'un mercredi de printemps. J'en meurs encore et mes mots saignent, mais rien, rien n'est plus doux que sa peau nue sous mes lèvres.
La citation du jour : "Aie mais tu piques !"
La chanson du jour : The Kiss, The Cure, "Oh kiss me kiss me kiss me, your tongue's like poison"
Même si les partiels approchent, la vie est belle !
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