"Au bout du téléphone, ...
... il y a votre voix" *MA* voix.
Je fais mentir Françoise Hardy et Michel Berger...
Deux semaines absolument horribles... C'est marrant comme la synchronicité Jungienne fonctionne aussi quand ça va pas... Petit à petit, ma vie s'écroule autour de moi... Et petit clou sur le cercueil, depuis que la Maison-Dieu s'écroule, a peu près en même temps, un numéro reste sans réponse...
Invariablement, le téléphone sonne. Invariablement, j'entends cinq sonneries. Invariablement, ça décroche. Invariablement, c'est le répondeur, et sur le répondeur, ma propre voix, parce que ça nous faisait rire. Et là ce miroir est cruel et je ne ris plus, et je raccroche sans laisser de message, j'aurais l'impression de me laisser un message à moi même, et de toutes façons je n'ai jamais aimé les répondeurs.
Deux semaines à se poser des questions, à imaginer le pire. Et puis un message, enfin ce matin, discret, via ce MSN que j'abhorre, pendant que j'étais sorti. Message plein d'étoiles... Mais qui ne remplace pas le toucher, la voix. Alors je décroche mon téléphone, et je compose le numéro. Et j'entends, invariablement, ma voix qui me réponds... Et j'attends seul dans un café...
Et ma vie qui continue de s'écrouler, et personne à qui vraiment le dire.
La citation du jour : "Je suis désolée [...] Les deux dernières semaines ont été assez dures mais ne crois pas pour autant que j'ai arrêté de penser à toi..."
La chanson du jour : Je me sens si seul, Marc Lavoine, "Je me sens si seul, tu me manques tant, et j'écoute le souffle du vent, tu me manques tant..."
Même si une pierre qui s'écrase, ça fait mal, la vie est belle !
Je fais mentir Françoise Hardy et Michel Berger...
Deux semaines absolument horribles... C'est marrant comme la synchronicité Jungienne fonctionne aussi quand ça va pas... Petit à petit, ma vie s'écroule autour de moi... Et petit clou sur le cercueil, depuis que la Maison-Dieu s'écroule, a peu près en même temps, un numéro reste sans réponse...
Invariablement, le téléphone sonne. Invariablement, j'entends cinq sonneries. Invariablement, ça décroche. Invariablement, c'est le répondeur, et sur le répondeur, ma propre voix, parce que ça nous faisait rire. Et là ce miroir est cruel et je ne ris plus, et je raccroche sans laisser de message, j'aurais l'impression de me laisser un message à moi même, et de toutes façons je n'ai jamais aimé les répondeurs.
Deux semaines à se poser des questions, à imaginer le pire. Et puis un message, enfin ce matin, discret, via ce MSN que j'abhorre, pendant que j'étais sorti. Message plein d'étoiles... Mais qui ne remplace pas le toucher, la voix. Alors je décroche mon téléphone, et je compose le numéro. Et j'entends, invariablement, ma voix qui me réponds... Et j'attends seul dans un café...
Et ma vie qui continue de s'écrouler, et personne à qui vraiment le dire.
La citation du jour : "Je suis désolée [...] Les deux dernières semaines ont été assez dures mais ne crois pas pour autant que j'ai arrêté de penser à toi..."
La chanson du jour : Je me sens si seul, Marc Lavoine, "Je me sens si seul, tu me manques tant, et j'écoute le souffle du vent, tu me manques tant..."
Même si une pierre qui s'écrase, ça fait mal, la vie est belle !
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