En boucle....
Me coucher tard, après avoir joué au démineur, aux dames, et aux échecs avec Caroline. Parce que même si elle est tout loin, elle est quand même proche, un peu... Parler de nous il y a dix ans et en rire. Faire le con sur la ouebecam pour la faire sourire.
Je suis arrivé à la fin de Combray dans "Du côté de chez Swann", et j'avoue que cette séparation élégante et pratique du livre n'a pas résisté à mon envie de relire American Gods qui est arrivé en version poche dans la même commande que mes bouquins du Capes. Proust me pardonnera de le mettre ainsi en pause, mais après tout, Proust, c'est comme un bon vin (ou une bonne madeleine, huhu), ça se décante bien avec l'âge... Je reprendrai le livre second quand j'aurai fini de me bercer dans le chef d'oeuvre de Neil (même si je préfère tout de même Stardust qui reste mon favori)...
J'essaie de ne pas trop réfléchir et de ne pas trop penser. Je vais voir Charlie et la chocolaterie demain avec la jolie blondinette à la peau très addictive. Et je me souviens des mots cruels de ma blonde avant qu'elle parte, même si elle les avait prononcé pour de rire... "aaaaaaaaa c'est ma remplaçante !"...
Et je remets, en boucle pour la trentième fois au moins, cette chanson dont je ne me lasse pas en ce moment... Et je me laisse partir, dans la dichotomie entre les notes cristallines et la voix hantée, lancinante de Thom Yorke... Et je ferme mes yeux pour qu'ils restent secs. Et je me replonge dans les mots de Gaiman, et dans mon usuelle mélancolie estivale. The more things change...
La citation du jour : "Et le four, bordel !"
La chanson du jour (et de la nuit, et d'hier, et...) : No Surprises, Radiohead "A heart that's full up like a landfill,(...) You look so tired-unhappy, (...) I'll take a quiet life, a handshake of carbon monoxide, with no alarms and no surprises..."
Même si elle est trop monotone, parfois, la vie est belle !
Je suis arrivé à la fin de Combray dans "Du côté de chez Swann", et j'avoue que cette séparation élégante et pratique du livre n'a pas résisté à mon envie de relire American Gods qui est arrivé en version poche dans la même commande que mes bouquins du Capes. Proust me pardonnera de le mettre ainsi en pause, mais après tout, Proust, c'est comme un bon vin (ou une bonne madeleine, huhu), ça se décante bien avec l'âge... Je reprendrai le livre second quand j'aurai fini de me bercer dans le chef d'oeuvre de Neil (même si je préfère tout de même Stardust qui reste mon favori)...
J'essaie de ne pas trop réfléchir et de ne pas trop penser. Je vais voir Charlie et la chocolaterie demain avec la jolie blondinette à la peau très addictive. Et je me souviens des mots cruels de ma blonde avant qu'elle parte, même si elle les avait prononcé pour de rire... "aaaaaaaaa c'est ma remplaçante !"...
Et je remets, en boucle pour la trentième fois au moins, cette chanson dont je ne me lasse pas en ce moment... Et je me laisse partir, dans la dichotomie entre les notes cristallines et la voix hantée, lancinante de Thom Yorke... Et je ferme mes yeux pour qu'ils restent secs. Et je me replonge dans les mots de Gaiman, et dans mon usuelle mélancolie estivale. The more things change...
La citation du jour : "Et le four, bordel !"
La chanson du jour (et de la nuit, et d'hier, et...) : No Surprises, Radiohead "A heart that's full up like a landfill,(...) You look so tired-unhappy, (...) I'll take a quiet life, a handshake of carbon monoxide, with no alarms and no surprises..."
Même si elle est trop monotone, parfois, la vie est belle !
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