Balisto 2, le retour de la vengeance
Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais un petit bout de mon enfance revient à la charge de nos étalages de supermarchés et des distributeurs automatiques.
Je vous parle d'un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître. Et ça n'a rien à voir avec Montmartre. Quand j'avais 10 ans (non, c'était pas y'a si longtemps, connard :D ), au sein des mars, snickers et autres raiders (les twix d'avant que ça s'appelle twix), les Balisto, jaunes, verts, et les pas-bon-violets, tentaient gaiment d'attirer nos yeux de gamins affamés pour nous apporter de l' "énergie" (lire : du sucre et du gras) pendant la récré.
Balisto, c'était l'un de mes snacks préférés, parce que c'était l'un des moins sucrés justement (j'ai jamais été très "sucre") et surtout l'un de ceux qui collaient le moins. Un snack sans caramel qui colle aux dents et aux doigts qu'on trouvait à profusion au milieu des mars, snickers et autres lions. En plus, y'avait du miel dans les jaunes (les meilleurs), et si j'ai jamais été très "miel" à part dans le thé ou comme jeu sexuel, j'ai toujours adoré les trucs au miel, comme le Balisto jaune ou le Banania.
Puis, un jour, comme les Raiders ont disparu pour laisser la place aux Twix, les Balisto ont disparu pour laisser la place... à rien. Boudés des étalages et des distributeurs à gâteaux, les Balisto ont connu une mort médiatique. Plus une seule pub télé (fini ma "vraie nature"), à se demander comment la marque a vivoté. Seuls les plus grands hypermarchés (et les plus petits avec un patron qui bouffe des Balisto) ont continué à en vendre, par paquets de 10, en général bien loin des rayons du milieu à hauteur d'oeil et de main.
Et d'un coup, d'un seul, paf, le comeback. Je n'ai plus d'antenne télévisée depuis près de deux ans, donc je ne sais pas si Balisto a fait son retour dans la pub, mais les boulangeries et les distributeurs à bonbons sont de nouveaux assaillis par les étuis verts et jaune (et, pour mon plus grand bonheur, PAS les violets). Il y en a partout. Au Thermapolis, dans ma boulagerie et dans les distributeurs de la fac de lettre. La révolution du Balisto est en marche. Et à chaque fois que j'en croque un, boudiou, je rajeunis de dix ans.
A quand le retour des Treets ?
La citation du jour : "et quand ils retombent en enfance, c'est sur l'enfance qu'ils retombent" (Prevert)
La chanson du jour : I want you, The Beatles, "I want you I want you so bad I want you I want you so bad It's driving me mad It's driving me mad"
Même si j'ai hâte d'être mercredi, la vie est belle !
Je vous parle d'un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître. Et ça n'a rien à voir avec Montmartre. Quand j'avais 10 ans (non, c'était pas y'a si longtemps, connard :D ), au sein des mars, snickers et autres raiders (les twix d'avant que ça s'appelle twix), les Balisto, jaunes, verts, et les pas-bon-violets, tentaient gaiment d'attirer nos yeux de gamins affamés pour nous apporter de l' "énergie" (lire : du sucre et du gras) pendant la récré.
Balisto, c'était l'un de mes snacks préférés, parce que c'était l'un des moins sucrés justement (j'ai jamais été très "sucre") et surtout l'un de ceux qui collaient le moins. Un snack sans caramel qui colle aux dents et aux doigts qu'on trouvait à profusion au milieu des mars, snickers et autres lions. En plus, y'avait du miel dans les jaunes (les meilleurs), et si j'ai jamais été très "miel" à part dans le thé ou comme jeu sexuel, j'ai toujours adoré les trucs au miel, comme le Balisto jaune ou le Banania.
Puis, un jour, comme les Raiders ont disparu pour laisser la place aux Twix, les Balisto ont disparu pour laisser la place... à rien. Boudés des étalages et des distributeurs à gâteaux, les Balisto ont connu une mort médiatique. Plus une seule pub télé (fini ma "vraie nature"), à se demander comment la marque a vivoté. Seuls les plus grands hypermarchés (et les plus petits avec un patron qui bouffe des Balisto) ont continué à en vendre, par paquets de 10, en général bien loin des rayons du milieu à hauteur d'oeil et de main.
Et d'un coup, d'un seul, paf, le comeback. Je n'ai plus d'antenne télévisée depuis près de deux ans, donc je ne sais pas si Balisto a fait son retour dans la pub, mais les boulangeries et les distributeurs à bonbons sont de nouveaux assaillis par les étuis verts et jaune (et, pour mon plus grand bonheur, PAS les violets). Il y en a partout. Au Thermapolis, dans ma boulagerie et dans les distributeurs de la fac de lettre. La révolution du Balisto est en marche. Et à chaque fois que j'en croque un, boudiou, je rajeunis de dix ans.
A quand le retour des Treets ?
La citation du jour : "et quand ils retombent en enfance, c'est sur l'enfance qu'ils retombent" (Prevert)
La chanson du jour : I want you, The Beatles, "I want you I want you so bad I want you I want you so bad It's driving me mad It's driving me mad"
Même si j'ai hâte d'être mercredi, la vie est belle !
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