Le retour en force du baron de Senquisse
Bonjour à tous,
Plusieurs longues journées sans nouvelles mais, comme souvent, il y a une bonne raison à cela. Bonne, bien sûr, dépendant du degré d'objectivité de l'oeil du lecteur, mais si vous venez régulièrement vous êtes habitués à avoir sous vos petits yeux gourmands des articles débordants de subjectivité et qui, après tout, sont écrits selon mon point de vue.
Ces dernières semaines ont vu une accumulation énorme (*ET* quotidienne) de mauvaises nouvelles. Vu le ton assez morose de mes dernières larmes nocturnes en ces lieux, je m'étais promis que la prochaine note que je posterais céans serait une note positive, ou tout au moins neutre. Et vous savez combien j'aime tenir les promesses que je me fais.
Touchons du bois, cela fait une semaine, jour pour jour, que je n'ai pas reçu de mauvaise nouvelle grave (quelques p'tites mauvaises nouvelles de ça, de là, mais des broutilles hein, après tout, quand tu t'en prends plein la djeule à la longueur de journée, tu finis par développer un genre de sentiment blasé face aux petits tracas quotidiens qui, clin d'oeil à Sebastien, te font les regarder droit dans les yeux avec dédain en s'exclamant "So what ?"), donc je me décide à poster à nouveau. Pas de nouvelles particulièrement joyeuses, mais on fait avec ce qu'on a hein, les gens.
Donc histoire de vous tenir au courant de la suite "logique" des derniers messages, je me suis pris une belle veste (habillé pour l'hiver, aurait chanté Bénabar, c'est con, c'est le printemps), mais alors une veste mémorable, genre de compétition, avec la demoiselle des articles ci-dessous. En plus, par SMS, et vous savez combien j'adore ça. J'applique donc depuis ce SMS la réciproque de la règle de l'intérêt de Bouvard et Pécuchet par Flaubert. Mon côté blasé-de-la-vie de ces dernières semaines m'y aide beaucoup, je l'avoue.
J'ai passé pas mal de temps chez un ami (l'un des dinosaures, pour les lecteurs fidèles) qui m'a laissé ses clefs pendant qu'il partait en vacances. Au moins une chose est claire : quelles que soient les merdes qui me tombent sur la djeule, j'ai au moins le don d'avoir toujours su choisir mes amis et de donc pouvoir compter sur eux. Mes amis sont des gens adorables.
J'avance en mode turbo dans mes lectures en retard depuis la fin des écrits du capes, et ma petite voix fûrbe qui se fait parfois passer pour ma conscience (mouahahaha) me sussure que j'ai d'ailleurs bientôt vingt livres de retard en termes de fiches de lectures en ces lieux... Bon, promis, fidèle lecteur, sensuelle lectrice, un jour je donnerai un violent coup de pied là où ça fait mal à ma procrastination. Mais pour l'instant j'ai toujours l'excuse du "Hân mais tu comprends je bosse pour le capes" tant que les oraux ne sont pas passés, alors messieurs dames du jury ce sera ma version officielle. Innoncent jusqu'à être démontré coupable.
Dans la dèche abyssale dans laquelle je me trouve, je me suis quand même offert (cadeau de moi à moi) une séance de cinéma dans le ciné d'art et essai de Metz où l'écran est plus petit que celui de mes amis dinosaures à Talange pour aller voir avec une amie le film-documentaire de et sur George Michael. Nous avons donc respectiment bandé et mouillé en couinant comme des midinettes devant les images du beau George (Michael, donc, pas Boy, même s'il est aussi dans le film) et je suis content de cette sortie. La demoiselle en question se farcit (ou pas) toujours des poetic lovers et doit avoir un don pour se faire draguer par des handicapés de la vie, mais à part ça tout va bien. En temps que collègue de la dep' (How deep is your dep ?), j'espère qu'elle finira par se trouver un autre homard. Moi je suis un vil papillon alors je reste à distance respectable : un homard et un papillon, ça ne va pas bien ensemble, huhuhu.
Accessoirement, j'ai bien ri l'autre jour en croisant (et en saluant) la miss Poutsie-blog, Marie-Charlotte alias MC (nombril numéro 33 pour ceux qui suivent le Nombriloscope) qui a répondu a mon salut d'une voix guillerette et souriante, mais le visage visiblement déformé par la confusion et un petit air de "mais c'est qui ce type massif que je ne connais pas et qui me dit bonjour ?" Huhuhu. Ca lui apprendra à mettre plein de photos d'elle sur son blog. Je l'ai reconnue de suite, donc, mais vu que je mets (en général, il y a eu UNE exception EDIT : Non, deux, en fait, mais la seconde est sur une page cachée du site) seulement des photos tronquées de ma petite personne en ces pages électroniques, c'est forcément plus difficile de me reconnaître. Je n'ai pas eu le temps de m'attarder (j'étais comme à mon habitude en retard pour aller en cours) mais je dois dire que l'idée de la savoir se ronger de questions au sujet de l'inconnu massif pendant une journée a également aidé à me pousser à rejoindre rapidement ma salle de classe sans autre forme d'explication, huhuhu je suis un fûrbe. J'ai bien évidement depuis dévoilé mon identité sur son blog, et promis, la prochaine fois je m'arrête, je bisouille, et je papote un chouille. Sans rancune hein MC, mais tu as vraiment fait une tête trop drôle, huhuhu.
Bon, j'ai déjà écrit trop de lignes alors je vais abréger ("L'heure c'est l'heure, time is time" comme dirait Nicole), d'autant plus que ces derniers temps j'ai accumulé tellement de citations du jour que devoir en choisir une et une seule pour cet article a été un moment cornélien, et que je me suis débrouillé fourbeusement pour en caser un maximum d'autres discrètement entre les lignes. Non, baron, reprends-toi : il ne faut pas gâcher l'avenir de tant de citations du jour. Il faut que je me remette à poster plus. Dont acte.
La citation du jour : "Très jolie fille"
La chanson du jour : How Deep Is Your Love, The Bee Gees, "And you may not think I care for you When you know down inside That I really do And it’s me you need to show How deep is your love... I really need to learn ’cause we’re living in a world of fools, Breaking us down When they all should let us be. We belong to you and me"
Même s'il faut que je me secoue un chouille pour poster plus, la vie est belle !
Plusieurs longues journées sans nouvelles mais, comme souvent, il y a une bonne raison à cela. Bonne, bien sûr, dépendant du degré d'objectivité de l'oeil du lecteur, mais si vous venez régulièrement vous êtes habitués à avoir sous vos petits yeux gourmands des articles débordants de subjectivité et qui, après tout, sont écrits selon mon point de vue.
Ces dernières semaines ont vu une accumulation énorme (*ET* quotidienne) de mauvaises nouvelles. Vu le ton assez morose de mes dernières larmes nocturnes en ces lieux, je m'étais promis que la prochaine note que je posterais céans serait une note positive, ou tout au moins neutre. Et vous savez combien j'aime tenir les promesses que je me fais.
Touchons du bois, cela fait une semaine, jour pour jour, que je n'ai pas reçu de mauvaise nouvelle grave (quelques p'tites mauvaises nouvelles de ça, de là, mais des broutilles hein, après tout, quand tu t'en prends plein la djeule à la longueur de journée, tu finis par développer un genre de sentiment blasé face aux petits tracas quotidiens qui, clin d'oeil à Sebastien, te font les regarder droit dans les yeux avec dédain en s'exclamant "So what ?"), donc je me décide à poster à nouveau. Pas de nouvelles particulièrement joyeuses, mais on fait avec ce qu'on a hein, les gens.
Donc histoire de vous tenir au courant de la suite "logique" des derniers messages, je me suis pris une belle veste (habillé pour l'hiver, aurait chanté Bénabar, c'est con, c'est le printemps), mais alors une veste mémorable, genre de compétition, avec la demoiselle des articles ci-dessous. En plus, par SMS, et vous savez combien j'adore ça. J'applique donc depuis ce SMS la réciproque de la règle de l'intérêt de Bouvard et Pécuchet par Flaubert. Mon côté blasé-de-la-vie de ces dernières semaines m'y aide beaucoup, je l'avoue.
J'ai passé pas mal de temps chez un ami (l'un des dinosaures, pour les lecteurs fidèles) qui m'a laissé ses clefs pendant qu'il partait en vacances. Au moins une chose est claire : quelles que soient les merdes qui me tombent sur la djeule, j'ai au moins le don d'avoir toujours su choisir mes amis et de donc pouvoir compter sur eux. Mes amis sont des gens adorables.
J'avance en mode turbo dans mes lectures en retard depuis la fin des écrits du capes, et ma petite voix fûrbe qui se fait parfois passer pour ma conscience (mouahahaha) me sussure que j'ai d'ailleurs bientôt vingt livres de retard en termes de fiches de lectures en ces lieux... Bon, promis, fidèle lecteur, sensuelle lectrice, un jour je donnerai un violent coup de pied là où ça fait mal à ma procrastination. Mais pour l'instant j'ai toujours l'excuse du "Hân mais tu comprends je bosse pour le capes" tant que les oraux ne sont pas passés, alors messieurs dames du jury ce sera ma version officielle. Innoncent jusqu'à être démontré coupable.
Dans la dèche abyssale dans laquelle je me trouve, je me suis quand même offert (cadeau de moi à moi) une séance de cinéma dans le ciné d'art et essai de Metz où l'écran est plus petit que celui de mes amis dinosaures à Talange pour aller voir avec une amie le film-documentaire de et sur George Michael. Nous avons donc respectiment bandé et mouillé en couinant comme des midinettes devant les images du beau George (Michael, donc, pas Boy, même s'il est aussi dans le film) et je suis content de cette sortie. La demoiselle en question se farcit (ou pas) toujours des poetic lovers et doit avoir un don pour se faire draguer par des handicapés de la vie, mais à part ça tout va bien. En temps que collègue de la dep' (How deep is your dep ?), j'espère qu'elle finira par se trouver un autre homard. Moi je suis un vil papillon alors je reste à distance respectable : un homard et un papillon, ça ne va pas bien ensemble, huhuhu.
Accessoirement, j'ai bien ri l'autre jour en croisant (et en saluant) la miss Poutsie-blog, Marie-Charlotte alias MC (nombril numéro 33 pour ceux qui suivent le Nombriloscope) qui a répondu a mon salut d'une voix guillerette et souriante, mais le visage visiblement déformé par la confusion et un petit air de "mais c'est qui ce type massif que je ne connais pas et qui me dit bonjour ?" Huhuhu. Ca lui apprendra à mettre plein de photos d'elle sur son blog. Je l'ai reconnue de suite, donc, mais vu que je mets (en général, il y a eu UNE exception EDIT : Non, deux, en fait, mais la seconde est sur une page cachée du site) seulement des photos tronquées de ma petite personne en ces pages électroniques, c'est forcément plus difficile de me reconnaître. Je n'ai pas eu le temps de m'attarder (j'étais comme à mon habitude en retard pour aller en cours) mais je dois dire que l'idée de la savoir se ronger de questions au sujet de l'inconnu massif pendant une journée a également aidé à me pousser à rejoindre rapidement ma salle de classe sans autre forme d'explication, huhuhu je suis un fûrbe. J'ai bien évidement depuis dévoilé mon identité sur son blog, et promis, la prochaine fois je m'arrête, je bisouille, et je papote un chouille. Sans rancune hein MC, mais tu as vraiment fait une tête trop drôle, huhuhu.
Bon, j'ai déjà écrit trop de lignes alors je vais abréger ("L'heure c'est l'heure, time is time" comme dirait Nicole), d'autant plus que ces derniers temps j'ai accumulé tellement de citations du jour que devoir en choisir une et une seule pour cet article a été un moment cornélien, et que je me suis débrouillé fourbeusement pour en caser un maximum d'autres discrètement entre les lignes. Non, baron, reprends-toi : il ne faut pas gâcher l'avenir de tant de citations du jour. Il faut que je me remette à poster plus. Dont acte.
La citation du jour : "Très jolie fille"
La chanson du jour : How Deep Is Your Love, The Bee Gees, "And you may not think I care for you When you know down inside That I really do And it’s me you need to show How deep is your love... I really need to learn ’cause we’re living in a world of fools, Breaking us down When they all should let us be. We belong to you and me"
Même s'il faut que je me secoue un chouille pour poster plus, la vie est belle !
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