The Capes Chronicles : Toulouse, jour 5
Back in black
5h45, le réveille sonne et le baron se lève en grommelant. Mes oraux sont finis, mes déambulations dans la ville rose aussi, mes sacs sont prêts et lourds à la fois. J'ai profité de la discussion d'hier soir pour régler ma chambre histoire de gagner un temps ce matin, zou, en route. Je quitte l'hôtel à l'heure. La navette me dépose à l'aéroport à l'heure. Je passe le check-in à l'heure (d'ailleurs mon bagage à man se fait RE-fouiller, comme à l'aller, je dois VRAIMENT avoir une tête de terroriste, a moins que cela ne sois simplement que ma bougonnerie matinale en ce jour...). J'arrive devant la nacelle d'embarquement à l'heure. L'avion, lui, a du retard... Merci la loi de Murphy.
Au lieu d'embarquer à 8h10, j'ai royalement posé le pied dans ce fichu coucou à 11h20. Donc j'aurais pu LARGEMENT me lever à 9h. Bouhouhou, monde, je te hais. J'en profite pour lire d'une traite Colour of Magic de Pratchett, quelques sourires, mais je me souviens maintenant pourquoi je n'avais pas tant accroché lors de ma première lecture.
L'avion se pose à Paris un peu après midi, et à peu de choses près à l'heure exacte où mon train démarre pour Metz. Malheureusement la nacelle de téléportation Orly-Gare de l'Est n'a pas encore été mise en place. Et cette fois, le train n'a pas de retard, LUI (deux fois de suite, cela aurait été vulgaire). Du coup je me vois contraint d'attendre le suivant, 3 heures d'attente de plus à la gare de l'Est... Je suis rentré au bercail à 19h, soit un temps de voyage/attente de 12-13 heures. Les avions ne sont pas souvent en retard, mais quand ils le sont, c'est rageant.
Dernière réflexion sur au/en revoir. Ma théorie de début de semaine s'écroule. Malgré des "Au" revoir appuyés de ma part, le jeudi et le vendredi, à Toulouse et Paris, n'a vu qu'un cortège de "En" revoirs en guise de réponses. Damned. Le glissement phonétique est partout, il se développe et reste ancré dans les langues. Résistons mes frères, mes soeurs, résistoooooons !
La citation du jour : "En fait l'avion vient seulement de quitter Paris là... Il sera là dans un heure... Si tout va bien."
La chanson du jour : Je t'attends, Johnny Hallyday, "Je t'attends, je t'attends, je t'attends, je t'attends, Je t'attends, je t'attends, je t'attends, je t'attends, Tout le temps, tout le temps, Tout le temps, chaque instant. Je t'attends, je t'attends, je t'attends Depuis si longtemps."
Même si j'en ai marre de me lever trop tôt, la vie est belle !
5h45, le réveille sonne et le baron se lève en grommelant. Mes oraux sont finis, mes déambulations dans la ville rose aussi, mes sacs sont prêts et lourds à la fois. J'ai profité de la discussion d'hier soir pour régler ma chambre histoire de gagner un temps ce matin, zou, en route. Je quitte l'hôtel à l'heure. La navette me dépose à l'aéroport à l'heure. Je passe le check-in à l'heure (d'ailleurs mon bagage à man se fait RE-fouiller, comme à l'aller, je dois VRAIMENT avoir une tête de terroriste, a moins que cela ne sois simplement que ma bougonnerie matinale en ce jour...). J'arrive devant la nacelle d'embarquement à l'heure. L'avion, lui, a du retard... Merci la loi de Murphy.
Au lieu d'embarquer à 8h10, j'ai royalement posé le pied dans ce fichu coucou à 11h20. Donc j'aurais pu LARGEMENT me lever à 9h. Bouhouhou, monde, je te hais. J'en profite pour lire d'une traite Colour of Magic de Pratchett, quelques sourires, mais je me souviens maintenant pourquoi je n'avais pas tant accroché lors de ma première lecture.
L'avion se pose à Paris un peu après midi, et à peu de choses près à l'heure exacte où mon train démarre pour Metz. Malheureusement la nacelle de téléportation Orly-Gare de l'Est n'a pas encore été mise en place. Et cette fois, le train n'a pas de retard, LUI (deux fois de suite, cela aurait été vulgaire). Du coup je me vois contraint d'attendre le suivant, 3 heures d'attente de plus à la gare de l'Est... Je suis rentré au bercail à 19h, soit un temps de voyage/attente de 12-13 heures. Les avions ne sont pas souvent en retard, mais quand ils le sont, c'est rageant.
Dernière réflexion sur au/en revoir. Ma théorie de début de semaine s'écroule. Malgré des "Au" revoir appuyés de ma part, le jeudi et le vendredi, à Toulouse et Paris, n'a vu qu'un cortège de "En" revoirs en guise de réponses. Damned. Le glissement phonétique est partout, il se développe et reste ancré dans les langues. Résistons mes frères, mes soeurs, résistoooooons !
La citation du jour : "En fait l'avion vient seulement de quitter Paris là... Il sera là dans un heure... Si tout va bien."
La chanson du jour : Je t'attends, Johnny Hallyday, "Je t'attends, je t'attends, je t'attends, je t'attends, Je t'attends, je t'attends, je t'attends, je t'attends, Tout le temps, tout le temps, Tout le temps, chaque instant. Je t'attends, je t'attends, je t'attends Depuis si longtemps."
Même si j'en ai marre de me lever trop tôt, la vie est belle !
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