Le post qui sent la guimauve
Il y a des fois où je me sens tellement fleur bleue et ridicule que si j'étais face à moi même j'aurais probablement envie de me foutre de ma djeule... Et genre, là, on est en plein dedans.
Ma blonde est loin et me manque. Ce manque cruel qui vous tords le coeur et le ventre et le coeur et les sens et le coeur. Ce genre de mal être passionnel qu'on ne voit normalement qu'à son état sauvage, dans son milieu naturel : dans un film avec Julia Roberts ou Hugh Grant. Celui qui n'est pas si grave dans le film parce qu'il finit toujours bien. C'est pour ça que c'est un film.
Elle me manque, et lamentablement il me pousse des désirs absolument futiles, donc totalement indispensables. Bien sûr j'aimerais la prendre dans mes bras, ou sentir à nouveau nos lèvres qui se frôlent. Mais ce n'est pas celà qui me ronge. J'ai besoin, j'en crève, de dormir avec elle.
Et là où je te surprends, jeune lecteur, jolie lectrice, là où je vois s'allumer ton oeil coquin et lubrique bien entrainé au fil de mes posts à reconnaitre en mes lignes le pervers que je suis et que j'assume, là où je te surprends c'est qu'il n'y a même pas de sexe dans ce désir.
J'ai besoin d'elle et je veux dormir avec elle. Simplement dormir, en chiens de fusil, peau contre peau, enfouir mon visage dans ses cheveux et ma main autour de sa taille. S'endormir ensemble paisiblement sans penser à rien d'autre qu'à nous et au sommeil qui nous gagne, au royaume d'Oneiros qui nous ouvre ses portes, et s'envoler ensemble.
Je crève d'envie de me perdre en elle, et de la sentir se perdre au creux de mes bras. Dormir ensemble pour me réveiller à l'aube, les yeux encore plein d'étoiles, et la voir encore dormir un peu au creux de mes bras sans savoir si elle est fille ou si elle est fée. La réveiller d'un baiser comme dans un conte et la voir sourire.
Je meurs de désir d'elle, mais au risque de te décevoir, avide lecteur, lubrique lectrice, ce soir, ce désir dont je brûle est chaste. Comme quoi tout arrive. Mais elle est loin, si loin. Oh, elle reviendra, bientôt. Mais je ne suis pas dans un film avec Hugh Grant, et son retour n'y changera rien...
La citation du jour : "C'est huit heures par jour... C'est pas payé cher mais ça te ferais un peu d'argent de poche"
La chanson du jour : I'm only sleeping, The Beatles, "Everybody seems to think I'm lazy, I don't mind, I think they're crazy Running everywhere at such a speed Till they find, there's no need !"
Même si elle me manque, la vie est belle !
Ma blonde est loin et me manque. Ce manque cruel qui vous tords le coeur et le ventre et le coeur et les sens et le coeur. Ce genre de mal être passionnel qu'on ne voit normalement qu'à son état sauvage, dans son milieu naturel : dans un film avec Julia Roberts ou Hugh Grant. Celui qui n'est pas si grave dans le film parce qu'il finit toujours bien. C'est pour ça que c'est un film.
Elle me manque, et lamentablement il me pousse des désirs absolument futiles, donc totalement indispensables. Bien sûr j'aimerais la prendre dans mes bras, ou sentir à nouveau nos lèvres qui se frôlent. Mais ce n'est pas celà qui me ronge. J'ai besoin, j'en crève, de dormir avec elle.
Et là où je te surprends, jeune lecteur, jolie lectrice, là où je vois s'allumer ton oeil coquin et lubrique bien entrainé au fil de mes posts à reconnaitre en mes lignes le pervers que je suis et que j'assume, là où je te surprends c'est qu'il n'y a même pas de sexe dans ce désir.
J'ai besoin d'elle et je veux dormir avec elle. Simplement dormir, en chiens de fusil, peau contre peau, enfouir mon visage dans ses cheveux et ma main autour de sa taille. S'endormir ensemble paisiblement sans penser à rien d'autre qu'à nous et au sommeil qui nous gagne, au royaume d'Oneiros qui nous ouvre ses portes, et s'envoler ensemble.
Je crève d'envie de me perdre en elle, et de la sentir se perdre au creux de mes bras. Dormir ensemble pour me réveiller à l'aube, les yeux encore plein d'étoiles, et la voir encore dormir un peu au creux de mes bras sans savoir si elle est fille ou si elle est fée. La réveiller d'un baiser comme dans un conte et la voir sourire.
Je meurs de désir d'elle, mais au risque de te décevoir, avide lecteur, lubrique lectrice, ce soir, ce désir dont je brûle est chaste. Comme quoi tout arrive. Mais elle est loin, si loin. Oh, elle reviendra, bientôt. Mais je ne suis pas dans un film avec Hugh Grant, et son retour n'y changera rien...
La citation du jour : "C'est huit heures par jour... C'est pas payé cher mais ça te ferais un peu d'argent de poche"
La chanson du jour : I'm only sleeping, The Beatles, "Everybody seems to think I'm lazy, I don't mind, I think they're crazy Running everywhere at such a speed Till they find, there's no need !"
Même si elle me manque, la vie est belle !
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