Shall we shag now or shall we shag later baby ?
Ou : comment s'auto-pourrir son groove pour l'écrit du Capes 2007
Comme vous le savez, l'inconscient que je suis a cette année décider de jongler entre un travail de professeur à plein temps, un capes en candidat libre et un Master en littérature. Mais si, c'est facile, il suffit d'arrêter de dormir, c'est très surfait, le sommeil !
Bref. Entre autres et à mon grand dam, cette année l'une des "oeuvres" (les guillemets sont importants pour celle ci) au programme du Capes est "Pride and Prejudice" de *roulement de vomi dans la gorge en guise de tambour* Jane Austen. Probablement l'auteur (sans E, hein Frederic ?) de la littérature anglaise que j'exècre le plus.
Mais force est de constater que les concepteurs du sujet font beaucoup d'efforts pour me réconcilier avec la mère Austen, puisque à l'image du Dracula de Stoker au programme de l'Agregation 2006 mis en parallèle avec l'adaptation ciné de Coppola, le bouquin de mamy Jane est mis en parallèle avec la très récente adaptation du livre sortie en 2005 avec, entre autres, Keira Knightley (*bave*).
Pour ceux qui ne la connaissent pas, Keira ressemble beaucoup (de visage) à Wynona Rider il y a dix ans, avec des cheveux longs et chatain clair. Elle est assez proche de mon idéal féminin, d'ailleurs. C'est donc sans trainer les pieds que je me suis offert le DVD du dit film avec la belle et qe je l'ai regardé. Eh bien, ce film m'a plus ou moins réconcilié, si non avec le livre ou l'auteur, tout au moins avec la trame de l'histoire. Le livre en lui même est toujours aussi mal écrit (je suis catégorique SI JE VEUX, c'est MON blog :) ) mais au moins l'histoire, "vue" comme ça, m'a parue plus intéressante. Surtout avec Keira. Lovely.
Mais alors pourquoi parle-je de pourissage de groove ? J'y viens. Du coup, le DVD en question était comme souvent bourré de bonus. En général, je regarde toujours la plus grosse partie des bonus de mes DVD, alors puisque c'était au programme du Capes, je n'allais pas m'en priver. Et du coup, forcément, dans les bonus, ils se réfèrent très régulièrement à l'auteur. Et à force d'entendre répéter Austen Austen Austen (pour les non anglophones : ça se lit "Ostinne Ostinne Ostinne"), mon cerveau a tout d'un coup fait une association d'idées des plus saugrenues et déplorables pour mon sérieux quant à l'étude de cette oeuvre. Oui, jeune lecteur, jolie lectrice, mon cerveau a créé cet hybride :
Jane Austen Powers.
Et là, c'est le drame, je m'imagine Lizzie avec un pantalon en cuir moulant et Darcy qui s'époumonne "Groovy Baby !" ...
...
... Je suis foutu ! :oD
La citation du jour : "Monsieur vous pouvez pas vous imaginer combien ça fait plaisir d'avoir un prof comme vous !"
La chanson du jour : Beautiful Stranger, Madonna, "If I'm smart then I'll run away But I'm not So I guess I'll stay, Heaven forbid I'll take my chance on a beautiful stranger"
Même si deux soirées ciné annulées en une semaine ça fait beaucoup, la vie est belle !
Comme vous le savez, l'inconscient que je suis a cette année décider de jongler entre un travail de professeur à plein temps, un capes en candidat libre et un Master en littérature. Mais si, c'est facile, il suffit d'arrêter de dormir, c'est très surfait, le sommeil !
Bref. Entre autres et à mon grand dam, cette année l'une des "oeuvres" (les guillemets sont importants pour celle ci) au programme du Capes est "Pride and Prejudice" de *roulement de vomi dans la gorge en guise de tambour* Jane Austen. Probablement l'auteur (sans E, hein Frederic ?) de la littérature anglaise que j'exècre le plus.
Mais force est de constater que les concepteurs du sujet font beaucoup d'efforts pour me réconcilier avec la mère Austen, puisque à l'image du Dracula de Stoker au programme de l'Agregation 2006 mis en parallèle avec l'adaptation ciné de Coppola, le bouquin de mamy Jane est mis en parallèle avec la très récente adaptation du livre sortie en 2005 avec, entre autres, Keira Knightley (*bave*).
Pour ceux qui ne la connaissent pas, Keira ressemble beaucoup (de visage) à Wynona Rider il y a dix ans, avec des cheveux longs et chatain clair. Elle est assez proche de mon idéal féminin, d'ailleurs. C'est donc sans trainer les pieds que je me suis offert le DVD du dit film avec la belle et qe je l'ai regardé. Eh bien, ce film m'a plus ou moins réconcilié, si non avec le livre ou l'auteur, tout au moins avec la trame de l'histoire. Le livre en lui même est toujours aussi mal écrit (je suis catégorique SI JE VEUX, c'est MON blog :) ) mais au moins l'histoire, "vue" comme ça, m'a parue plus intéressante. Surtout avec Keira. Lovely.
Mais alors pourquoi parle-je de pourissage de groove ? J'y viens. Du coup, le DVD en question était comme souvent bourré de bonus. En général, je regarde toujours la plus grosse partie des bonus de mes DVD, alors puisque c'était au programme du Capes, je n'allais pas m'en priver. Et du coup, forcément, dans les bonus, ils se réfèrent très régulièrement à l'auteur. Et à force d'entendre répéter Austen Austen Austen (pour les non anglophones : ça se lit "Ostinne Ostinne Ostinne"), mon cerveau a tout d'un coup fait une association d'idées des plus saugrenues et déplorables pour mon sérieux quant à l'étude de cette oeuvre. Oui, jeune lecteur, jolie lectrice, mon cerveau a créé cet hybride :
Jane Austen Powers.
Et là, c'est le drame, je m'imagine Lizzie avec un pantalon en cuir moulant et Darcy qui s'époumonne "Groovy Baby !" ...
...
... Je suis foutu ! :oD
La citation du jour : "Monsieur vous pouvez pas vous imaginer combien ça fait plaisir d'avoir un prof comme vous !"
La chanson du jour : Beautiful Stranger, Madonna, "If I'm smart then I'll run away But I'm not So I guess I'll stay, Heaven forbid I'll take my chance on a beautiful stranger"
Même si deux soirées ciné annulées en une semaine ça fait beaucoup, la vie est belle !
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