Cadeau d'anniversaire...
Comment résumer en quelques lignes la façon dont nos liens se désignent ?
Invisibles et pourtant incassables, si solides, et pourtant impalpables…
C’est impossible, je m’y résigne. Pourtant, j’ai gravé ces quelques signes
Pour parler de nos rires improbables, notre compréhension ineffable,
Tous ces non-dits que l’on emprisonne comme si le son était un blasphème,
Sans aucun bruit, entre nous raisonnent ces silences où je te dis « Je t’Aime »
Je sais trop qu’à ces mots tu t’enfuis, malgré tout ce que l’on a construit
– Déjà trois ans derrière nous, fugaces, toujours dix ans entre nous, crevasses –
Alors je me tais dessous la pluie de mes yeux alors que me poursuit
L’insolence amère du temps qui passe, tout ce temps perdu que rien n’efface.
Je ne dis rien, mais tu sais déjà ces élans portés par mon cœur blême
Mon sang qui coule au rythme de toi dans ces rêves où je te crie « Je t’Aime »
Dix-huit années de larmes et de joies, la vie change, la vie ne change pas
Je vois défiler tes amoureux en restant pour toi un Entre-Deux…
Et parfois quand tu sors de leurs bras, tu viens te serrer tout contre moi,
Je noie mon visage dans tes cheveux, mes doigts sur ta peau, mais juste un peu…
Pardonne-moi de te désobéir par ces peines, ces bonheurs que je sème
Mais je voulais simplement t’offrir quelques mots où je t’écris… « Je t’Aime »
La citation du jour : "Tu as les yeux tristes"
La chanson du jour : Mathilde, Jacques Brel, "Mon cœur, arrête de bringuebaler! Souviens-toi qu'elle t'a déchiré !"
Même si je ne sais pas te faire rêver, la vie est belle !
Invisibles et pourtant incassables, si solides, et pourtant impalpables…
C’est impossible, je m’y résigne. Pourtant, j’ai gravé ces quelques signes
Pour parler de nos rires improbables, notre compréhension ineffable,
Tous ces non-dits que l’on emprisonne comme si le son était un blasphème,
Sans aucun bruit, entre nous raisonnent ces silences où je te dis « Je t’Aime »
Je sais trop qu’à ces mots tu t’enfuis, malgré tout ce que l’on a construit
– Déjà trois ans derrière nous, fugaces, toujours dix ans entre nous, crevasses –
Alors je me tais dessous la pluie de mes yeux alors que me poursuit
L’insolence amère du temps qui passe, tout ce temps perdu que rien n’efface.
Je ne dis rien, mais tu sais déjà ces élans portés par mon cœur blême
Mon sang qui coule au rythme de toi dans ces rêves où je te crie « Je t’Aime »
Dix-huit années de larmes et de joies, la vie change, la vie ne change pas
Je vois défiler tes amoureux en restant pour toi un Entre-Deux…
Et parfois quand tu sors de leurs bras, tu viens te serrer tout contre moi,
Je noie mon visage dans tes cheveux, mes doigts sur ta peau, mais juste un peu…
Pardonne-moi de te désobéir par ces peines, ces bonheurs que je sème
Mais je voulais simplement t’offrir quelques mots où je t’écris… « Je t’Aime »
La citation du jour : "Tu as les yeux tristes"
La chanson du jour : Mathilde, Jacques Brel, "Mon cœur, arrête de bringuebaler! Souviens-toi qu'elle t'a déchiré !"
Même si je ne sais pas te faire rêver, la vie est belle !
Libellés : 18 ans, Amour, Anniversaire, Mathilde, Poeme
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire
Liens vers ce message:
Créer un lien
<< Accueil