Les p'tites lignes
Les jours avancent toujours, et j'ai presque l'impression que mon travail, lui, recule. Demain, j'aurais dû passer un oral pour mon Master, oui mais voilà, je serai moi même en train d'en faire passer, des oraux, jury d'anglais pour DEES Marketing et Communication. Du coup après un coup de fil au responsable des Masters à l'université, tout est arrangé, je passe certains oraux mardi, et ceux d'un UE précis en septembre seulement, en même temps que la deuxième session quoi... Mais bon, pas trop le choix. Avec le rush de fin d'année scolaire, je me dis que j'en ai peut être un peu trop fait cette année, mais bon (ah, et pour ceux qui en doutaient encore, oui, je suis admissible à l'oral du CAPES).
Le côté prof de ma vie n'est pas particulièrement doré en ce moment non plus. Toutes mes classes chouchoutes ont fini (soit en stage, soit parce que leurs exams sont déjà passés) et celles qui restent sont soit quelconques, soit particulièrement fatiguantes (et doublement fatiguantes, quand vu le temps, le manque de motivation est palpable dans la piece), du coup se lever le matin en ce moment et jusqu'à fin juin, c'est pas une partie de plaisir.
Sinon, dans la série "ça fait longtemps que vous m'avez pas vu vraiment déprimer", je vous rassure, fans et admiratrices de mes larmes nocturnes durant mes périodes sombres, ça devrait bientôt revenir. Outre le stress professionnel (d'un côté et de l'autre de la barrière), la pression du haut niveau à WoW (riez pas -_-), et la fin d'année qui approche, je suis surtout en train de faire mon erreur habituelle, et je la vois venir sans rien pouvoir y faire, comme un Bambi pétrifié sur la route qui regarde les phares du camion s'approcher. Mais j'ai beau tout faire pour y résister, je sens encore une fois céder petit à petit toutes les barrières pourtant piégées et sécurisées que j'ai mis autour de mon p'tit coeur d'artichaud. En deux mots, je m'ouvre, et je me rends vulnérable. Et en général, c'est souvent là que la vie m'assassine, encore.
Mais bon. La vie serait si chiante si elle était simple. Et une chose que j'ai appris à bien faire (c'est comme Nutella, ce sont les années d'expérience qui font la différence), c'est me relever quand je tombe. Et même si ça fait mal, même si ça me détruit chaque fois un peu plus, la chute en elle même est trop grisante, le voyage est trop doux, et je plonge toujours avec le même entrain et la même impatience. Je sais que certains de mes proches ont du mal à me comprendre sur ce point... Moi même, au début... Mais je crois que pour le comprendre il faut être un peu comme moi. Peut être un peu trop artiste. Peut être un peu trop rêveur. Beaucoup, beaucoup trop plein d'amour. Mais je m'en fiche, de ceux qui ne veulent pas comprendre. Je suis moi et j'assume, un gros bisounours incorrigible qui a le don de toujours s'attacher quand il ne faut pas. Et même si je glisse, c'est avec le sourire. Et mon coeur, ou ce qu'il en reste, toujours offert à bout de bras...
La citation du jour : "Je vis ma vie comme on résout a²+b². Tu peux passer par les identités remarquables, ou bien tu peux t'amuser à développer et à rajouter 20 lignes de code."
La citation bonus du jour : "Au fait, c'est pour qui se pseudo encore ? S'pèce de bisounours"
La chanson du jour : Je suis de celles, Bénabar, "Je me répétais 'faut pas qu'je m'attache'... "
Même si je m'attache quand même et que ça va bien finir par me retomber sur le coin de la djeule, la vie est belle!
Le côté prof de ma vie n'est pas particulièrement doré en ce moment non plus. Toutes mes classes chouchoutes ont fini (soit en stage, soit parce que leurs exams sont déjà passés) et celles qui restent sont soit quelconques, soit particulièrement fatiguantes (et doublement fatiguantes, quand vu le temps, le manque de motivation est palpable dans la piece), du coup se lever le matin en ce moment et jusqu'à fin juin, c'est pas une partie de plaisir.
Sinon, dans la série "ça fait longtemps que vous m'avez pas vu vraiment déprimer", je vous rassure, fans et admiratrices de mes larmes nocturnes durant mes périodes sombres, ça devrait bientôt revenir. Outre le stress professionnel (d'un côté et de l'autre de la barrière), la pression du haut niveau à WoW (riez pas -_-), et la fin d'année qui approche, je suis surtout en train de faire mon erreur habituelle, et je la vois venir sans rien pouvoir y faire, comme un Bambi pétrifié sur la route qui regarde les phares du camion s'approcher. Mais j'ai beau tout faire pour y résister, je sens encore une fois céder petit à petit toutes les barrières pourtant piégées et sécurisées que j'ai mis autour de mon p'tit coeur d'artichaud. En deux mots, je m'ouvre, et je me rends vulnérable. Et en général, c'est souvent là que la vie m'assassine, encore.
Mais bon. La vie serait si chiante si elle était simple. Et une chose que j'ai appris à bien faire (c'est comme Nutella, ce sont les années d'expérience qui font la différence), c'est me relever quand je tombe. Et même si ça fait mal, même si ça me détruit chaque fois un peu plus, la chute en elle même est trop grisante, le voyage est trop doux, et je plonge toujours avec le même entrain et la même impatience. Je sais que certains de mes proches ont du mal à me comprendre sur ce point... Moi même, au début... Mais je crois que pour le comprendre il faut être un peu comme moi. Peut être un peu trop artiste. Peut être un peu trop rêveur. Beaucoup, beaucoup trop plein d'amour. Mais je m'en fiche, de ceux qui ne veulent pas comprendre. Je suis moi et j'assume, un gros bisounours incorrigible qui a le don de toujours s'attacher quand il ne faut pas. Et même si je glisse, c'est avec le sourire. Et mon coeur, ou ce qu'il en reste, toujours offert à bout de bras...
La citation du jour : "Je vis ma vie comme on résout a²+b². Tu peux passer par les identités remarquables, ou bien tu peux t'amuser à développer et à rajouter 20 lignes de code."
La citation bonus du jour : "Au fait, c'est pour qui se pseudo encore ? S'pèce de bisounours"
La chanson du jour : Je suis de celles, Bénabar, "Je me répétais 'faut pas qu'je m'attache'... "
Même si je m'attache quand même et que ça va bien finir par me retomber sur le coin de la djeule, la vie est belle!
Libellés : Amour, Bisounours, Déprime, Vivre
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