K comme... Kilogrammes
Oui, celui là, forcément, je ne pouvais pas y couper.
Quand j'étais gamin, gamin gamin, j'étais un vrai fil de fer. Jusqu'à, disons, six ou sept ans. Puis je suis passé en mode boule. Tu sais, le genre de gosse en sixième que tu peux pousser sans risque dans la rue parce qu'au lieu de tomber, il roule ? Bah c'était moi.
Je me suis un peu pris en main avant l'adolescence pour atteindre mon rythme de croisière corporel. En gros, fini le mode "boule" mais fini le mode fil de fer. En fait, je ne m'aime pas, trop mince. Peut être frustration de mon amour du corps féminin et désir inconscient d'avoir, moi aussi, des rondeurs. D'ailleurs je dis souvent que je ne fais pas attention à ma ligne, mais que je fais attention à mes courbes.
Je ne sais pas. Ca fait peut être partie de mon côté bisounours, ça contribue au personnage, ou à ce que je suis, mais je n'ai jamais fait d'efforts drastiques pour devenir/rester/vouloir être svelte. Outre le fait que je me bat un peu contre des moulins à vent (rythme sédentaire, shoots annuels de cortisone couplés à un refus de manger sans sel...), je pense que je serais mal dans ma peau si je perdais mes petites poignées d'amour.
Alors certes, il n'y a pas QUE des avantages. Je pense par exemple que je peux imputer à mon petit bidon le mal de dos chronique qui me vrille depuis mon adolescence. Itou, ma faible résistance à la chaleur qui me transforme en fontaine dès que le mercure dépasse 20 ou 22°C.
Mais bon. Il y en a. Outre le côté bisounours évoqué plus haut, au moins je suis sûr que quand je suis entre deux draps avec quelqu'un, cette personne s'intéresse à moi et pas à mon corps (dessiné par Pablo Picasso en personne, période cubiste, bourré, un soir de pleine Lune). Quoique depuis que je suis re-riche, maintenant je pourrais croire que la personne s'intéresse à mon portefeuille, mais passons.
Malgré ça, il y a excès et excès. Lorsque j'ai perdu mon fournisseur régulier de sucre en poudre qui empêche de dormir, il y a un peu plus d'un an, j'ai pris plus de dix kilos d'un coup, pouf. Encore plus radical qu'arrêter de fumer. Malgré une inscription dans une salle de sport (d'ailleurs ma coach n'a toujours pas compris pourquoi mon indice graisseux avait AUGMENTE en deux mois alors qu'elle me voyait à la salle au moins 4 heures par semaine pendant ces deux mois), même si je pense que sans ça, c'eut été pire. J'en ai reperdu la plupart, mais pas tout, et ceux qui restent ont tendance à se sentir chez eux...
Mais rond ou pas, cocaïne ou pas, sport ou pas, l'essentiel est que je me sente toujours bien dans ma peau, et qu'au final, on s'entende plutôt bien, mes kilogrammes et moi !
La citation du jour : "J'ai jamais fait pouic à quelqu'un, moi... Tu fais souvent pouic aux gens toi ?"
La chanson du jour : Big girl (you are beautiful), Mika, "Curves in all the right places"
Même si je me demande si les nouveaux kilos repartiraient avec un nouveau fournisseur régulier, la vie est belle !
Quand j'étais gamin, gamin gamin, j'étais un vrai fil de fer. Jusqu'à, disons, six ou sept ans. Puis je suis passé en mode boule. Tu sais, le genre de gosse en sixième que tu peux pousser sans risque dans la rue parce qu'au lieu de tomber, il roule ? Bah c'était moi.
Je me suis un peu pris en main avant l'adolescence pour atteindre mon rythme de croisière corporel. En gros, fini le mode "boule" mais fini le mode fil de fer. En fait, je ne m'aime pas, trop mince. Peut être frustration de mon amour du corps féminin et désir inconscient d'avoir, moi aussi, des rondeurs. D'ailleurs je dis souvent que je ne fais pas attention à ma ligne, mais que je fais attention à mes courbes.
Je ne sais pas. Ca fait peut être partie de mon côté bisounours, ça contribue au personnage, ou à ce que je suis, mais je n'ai jamais fait d'efforts drastiques pour devenir/rester/vouloir être svelte. Outre le fait que je me bat un peu contre des moulins à vent (rythme sédentaire, shoots annuels de cortisone couplés à un refus de manger sans sel...), je pense que je serais mal dans ma peau si je perdais mes petites poignées d'amour.
Alors certes, il n'y a pas QUE des avantages. Je pense par exemple que je peux imputer à mon petit bidon le mal de dos chronique qui me vrille depuis mon adolescence. Itou, ma faible résistance à la chaleur qui me transforme en fontaine dès que le mercure dépasse 20 ou 22°C.
Mais bon. Il y en a. Outre le côté bisounours évoqué plus haut, au moins je suis sûr que quand je suis entre deux draps avec quelqu'un, cette personne s'intéresse à moi et pas à mon corps (dessiné par Pablo Picasso en personne, période cubiste, bourré, un soir de pleine Lune). Quoique depuis que je suis re-riche, maintenant je pourrais croire que la personne s'intéresse à mon portefeuille, mais passons.
Malgré ça, il y a excès et excès. Lorsque j'ai perdu mon fournisseur régulier de sucre en poudre qui empêche de dormir, il y a un peu plus d'un an, j'ai pris plus de dix kilos d'un coup, pouf. Encore plus radical qu'arrêter de fumer. Malgré une inscription dans une salle de sport (d'ailleurs ma coach n'a toujours pas compris pourquoi mon indice graisseux avait AUGMENTE en deux mois alors qu'elle me voyait à la salle au moins 4 heures par semaine pendant ces deux mois), même si je pense que sans ça, c'eut été pire. J'en ai reperdu la plupart, mais pas tout, et ceux qui restent ont tendance à se sentir chez eux...
Mais rond ou pas, cocaïne ou pas, sport ou pas, l'essentiel est que je me sente toujours bien dans ma peau, et qu'au final, on s'entende plutôt bien, mes kilogrammes et moi !
La citation du jour : "J'ai jamais fait pouic à quelqu'un, moi... Tu fais souvent pouic aux gens toi ?"
La chanson du jour : Big girl (you are beautiful), Mika, "Curves in all the right places"
Même si je me demande si les nouveaux kilos repartiraient avec un nouveau fournisseur régulier, la vie est belle !
Libellés : Baron de A à Z, Kilogrammes, Sport
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