Q comme... Q.I.
Que ceux qui n'avaient pas deviné cette lettre sautent dans leur baffe. J'irai même plus loin : que ceux qui avaient prévu un "Q comme cul" ou similaire donnent d'urgence un énorme coup de boule à un mur en béton. J'ai beau être un pervers qui s'assume, j'ai tout de même un MINIMUM de subtilité et d’amour propre rendant cette blague improbable.
QI, donc, pour « Quotient Intellectuel ». Vous savez, ce truc assez ineffable dont beaucoup de gens parlent sans trop savoir ce que c’est, souvent sujet tabou ou créant discorde et controverse. Qui pousse les gens qui n’ont que cela à tenter de masquer leur manque de profondeur en le portant comme un badge. Qui pousse les gens qui en ont peu à le déprécier et surtout, surtout, à déprécier les gens qui en ont. Pourquoi ? Parce que contrairement à ce que tout démagogue aurait tendance à vous dire, NON, tout le monde n’est pas égal face au Quotient Intellectuel. C’est pour cela que les mots « en droit » sont importants dans la phrase « Tous les Hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit ».
J’ai la « chance » d’être né avec un gros QI (dernière mesure à 152, pour les curieux). Je fais d’ailleurs partie de Mensa, une association internationale de « personnes à fort potentiel intellectuel » où l’on entre sur test de QI. Et pourtant, ce QI est probablement celle de mes qualités qui compte le moins pour moi (ce qui, arrogant comme je suis, cf. C comme Culture, I comme Imbu, etc., est tout de même un comble). Et ce qui me fait y rester et retourner à nos dîners mensuels, c’est que j’ai la chance d’y avoir découvert une écrasante majorité de personnes intéressantes et riches de conversation ne tirant pas non plus d’arrogance déplacée de ce fait.
Mais en vrai, c’est quoi, le QI ? Tout simplement la capacité de votre cerveau à trouver rapidement la solution à un problème en fonction des éléments qui lui sont donnés. L’estimation de votre capacité à « penser et raisonner » (pas forcément mathématique, contrairement aux idées reçues, cela peut aussi être comprendre un développement philosophique compliqué). Alors pourquoi n’en suis-je pas particulièrement fier ? Parce que s’il est possible de s’ « entraîner » de manière artificielle aux tests qui mesurent le QI (ce qui, soit dit en passant, fausse la donne : vous n’améliorez pas vraiment votre QI, vous améliorez votre capacité à « réussir » une catégorie d’exercices), le QI en lui-même est une donnée qui ne peut pas vraiment vous être attribuée. Se vanter et gonfler ses chevilles sur un QI élevé est pour moi tout aussi ridicule que de se vanter sur la taille de son sexe ou une peau parfaite. Certes, il est possible d’améliorer un peu son capital, ou d’être sûr qu’il ne se détériore pas avec le temps ou l’âge, mais cela reste une donnée extérieure. Et il est déplacé, voire indécent, de chercher à en tirer un quelconque mérite.
C’est pour cela que, bien que content d’avoir un QI élevé – cela reste pratique – je n’en tire pourtant aucune condescendance ou aucun sentiment de supériorité. Ces deux là, ils viennent de ma culture, de mes démarches introspectives, de ma philosophie de vie et de toutes ces autres choses que *JE* me suis forgé, petit à petit, et qui ne peuvent être attribuées qu’à moi (et de ceux qui m’ont transmis leur savoir, certes, mais tout le monde n’a pas le désir ou la motivation de tenter de le conserver).
Pour filer ma métaphore sexuelle (allez, vous y tenez à votre Q comme Cul…), si le QI est la taille du sexe, alors ceux qui ont un gros QI et ne cherchent pas à aller plus loin, voire qui considèrent ceux avec un plus petit QI avec suffisance, sont comparables à ces hommes dotés d’un sexe énorme mais qui n’ont jamais donné de plaisir à personne hormis eux dans leur vie, considérant que la taille suffit. Ceux qui ont un petit QI et de la rancœur envers ceux pour qui ce n’est pas le cas sont les hommes dotés d’un petit sexe et qui n’ont jamais essayé de passer outre, déversant plutôt leur fiel sur les acteurs porno et autres bien-membrés. Ma conclusion sera d’adapter au QI cette phrase que l’on entend souvent : ce n’est pas la taille, qui compte, c’est la façon de s’en servir. ^_^
QI, donc, pour « Quotient Intellectuel ». Vous savez, ce truc assez ineffable dont beaucoup de gens parlent sans trop savoir ce que c’est, souvent sujet tabou ou créant discorde et controverse. Qui pousse les gens qui n’ont que cela à tenter de masquer leur manque de profondeur en le portant comme un badge. Qui pousse les gens qui en ont peu à le déprécier et surtout, surtout, à déprécier les gens qui en ont. Pourquoi ? Parce que contrairement à ce que tout démagogue aurait tendance à vous dire, NON, tout le monde n’est pas égal face au Quotient Intellectuel. C’est pour cela que les mots « en droit » sont importants dans la phrase « Tous les Hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit ».
J’ai la « chance » d’être né avec un gros QI (dernière mesure à 152, pour les curieux). Je fais d’ailleurs partie de Mensa, une association internationale de « personnes à fort potentiel intellectuel » où l’on entre sur test de QI. Et pourtant, ce QI est probablement celle de mes qualités qui compte le moins pour moi (ce qui, arrogant comme je suis, cf. C comme Culture, I comme Imbu, etc., est tout de même un comble). Et ce qui me fait y rester et retourner à nos dîners mensuels, c’est que j’ai la chance d’y avoir découvert une écrasante majorité de personnes intéressantes et riches de conversation ne tirant pas non plus d’arrogance déplacée de ce fait.
Mais en vrai, c’est quoi, le QI ? Tout simplement la capacité de votre cerveau à trouver rapidement la solution à un problème en fonction des éléments qui lui sont donnés. L’estimation de votre capacité à « penser et raisonner » (pas forcément mathématique, contrairement aux idées reçues, cela peut aussi être comprendre un développement philosophique compliqué). Alors pourquoi n’en suis-je pas particulièrement fier ? Parce que s’il est possible de s’ « entraîner » de manière artificielle aux tests qui mesurent le QI (ce qui, soit dit en passant, fausse la donne : vous n’améliorez pas vraiment votre QI, vous améliorez votre capacité à « réussir » une catégorie d’exercices), le QI en lui-même est une donnée qui ne peut pas vraiment vous être attribuée. Se vanter et gonfler ses chevilles sur un QI élevé est pour moi tout aussi ridicule que de se vanter sur la taille de son sexe ou une peau parfaite. Certes, il est possible d’améliorer un peu son capital, ou d’être sûr qu’il ne se détériore pas avec le temps ou l’âge, mais cela reste une donnée extérieure. Et il est déplacé, voire indécent, de chercher à en tirer un quelconque mérite.
C’est pour cela que, bien que content d’avoir un QI élevé – cela reste pratique – je n’en tire pourtant aucune condescendance ou aucun sentiment de supériorité. Ces deux là, ils viennent de ma culture, de mes démarches introspectives, de ma philosophie de vie et de toutes ces autres choses que *JE* me suis forgé, petit à petit, et qui ne peuvent être attribuées qu’à moi (et de ceux qui m’ont transmis leur savoir, certes, mais tout le monde n’a pas le désir ou la motivation de tenter de le conserver).
Pour filer ma métaphore sexuelle (allez, vous y tenez à votre Q comme Cul…), si le QI est la taille du sexe, alors ceux qui ont un gros QI et ne cherchent pas à aller plus loin, voire qui considèrent ceux avec un plus petit QI avec suffisance, sont comparables à ces hommes dotés d’un sexe énorme mais qui n’ont jamais donné de plaisir à personne hormis eux dans leur vie, considérant que la taille suffit. Ceux qui ont un petit QI et de la rancœur envers ceux pour qui ce n’est pas le cas sont les hommes dotés d’un petit sexe et qui n’ont jamais essayé de passer outre, déversant plutôt leur fiel sur les acteurs porno et autres bien-membrés. Ma conclusion sera d’adapter au QI cette phrase que l’on entend souvent : ce n’est pas la taille, qui compte, c’est la façon de s’en servir. ^_^
La citation du jour : "Ah bin justement on voulait vous inviter à descendre boire un verre quand on aura plus de meubles"
La chanson du jour : I want you (she's so heavy), The Beatles, "I want you, I want you so bad it's driving me mad, it's driving me mad..."
Même si je suis assez en colère contre moi même d'être un tel torrent d'émotions en ce moment, la vie est belle !
Libellés : Baron de A à Z, Mensa, Q.I.
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