***Article(s) en date du 30.5.08***

Je suis le seul ?

Depuis quelques jour, *LA* news qui fait buzzer internet est la décision de la cour, appuyée par le garde des Sceaux, de faire invalider et annuler un mariage entre deux époux de confession musulmane après que, post-coitum de nuit de noce, monsieur s'est rendu compte (oui, on met l'indicatif après "après que", en français, monsieur) que madame, contrairement à ses dires prénuptiaux, n'était point vierge.

Alors tout le monde s'offusque, les féministes crient au scandale et à la régression, les athées et laïcs s'offusquent contre une décision de justice motivée par la religion, les progressistent dénoncent une décision retrograde, bref, tout le monde est d'accord pour dire que faut quand même pas déconner ma bonne Lucette.

Tout le monde ? Non. Dans l'est de la France, seul, un baron résiste encore et toujours contre l'envahisseur et la pensée de masse. Mais là du coup c'est un grand, GRAND moment de solitude parce que j'ai beau faire le tour du net et de mes proches, je ne trouve personne d'autre qui, comme moi, trouve cette décision absolument normale.

*laisse 5 minutes à tout le monde pour le lyncher*

C'est bon ? Je peux continuer ? Allez, zou, on démonte les arguments contre :

Déjà, je souris doucettement en entendant que cette décision est "rétro" ou "d'un autre temps"... pourquoi ? Parce que justement elle applique la loi, tant dans le fond que dans la forme, et que de nos jours le principe même de la justice est de savoir contourner la loi de la manière la plus efficace possible ? Peut on réellement déplorer l'application d'une loi lorsque cette dernière est censée ? J'insiste sur ce point, car je suis assez d'accord au demeurant avec la méthode américaine (d'origine hein, celle de la déclaration d'indépendance) comme quoi quand une loi est absolument stupide, on doit faire comme si elle n'existait pas, voire la changer.

Ensuite, ceux qui râlent comme quoi c'est une décision de justice religieuse. Non mais attendez quoi... Je ne vais MEME PAS choisir la solution de facilité qui consisterait à dire que de toutes façons, a part pour les impots, le mariage est DE BASE une institution ancrée dans la religion - vivi, même les mariages non religieux, sans le dogme judeo-chretien vous n'auriez jamais eu ça - parce que n'est même pas le propos ici. On s'en fiche totalement qu'ils soient musulmans, chrétiens ou même raëliens, sur ce coup ci. En aucun cas le plaidoyer n'était "oh la vilaine, elle n'était plus vierge, Momo le prophete ne va pas être content, lapidons la gueuse". Je pense (et j'espère) que cette décision de justice aurait été la même quelle que soit la croyance (ou non-croyance) de l'un ou l'autre des intéressés.

Alors pourquoi faire invalider ce mariage ? Tout simplement, et c'est ce qu'a avancé le mari *et qu'à reconnu l'épouse*, c'est que, musulman ou pas, féministe ou pas, la virginité de madame était une des conditions stipulées du mariage... Et ça, un mariage sous conditions, ça existe hein... Le mariage aurait été tout autant annulé si madame avait voulu un mari doté d'un prépuce et qu'elle s'était rendu compte qu'il était circoncis. Le mariage est un contrat, avec ses clauses, et si l'une des clauses n'est pas respectée (voire sciemment masquée) c'est un vice de forme qui entraine l'annulation légale. Comme quand vous achetez un chien et que vous vous rendez compte qu'il lui manque une patte (bon j'exagère pour la patte parce que ça se voit mais y'a plein de choses non décelables à l'oeil qui annulent une vente de chien... et pour ceux qui s'appretent à râler que je compare le mariage à un chien, y'a quand même quelques points communs, comme le fait de se retrouver avec une laisse autour du cou).

Donc non seulement, légalement cette décision est inattaquable (même si elle est médiatiquement très attaquable, justement, et je ne serais qu'à moitié surpris de la voire remise en cause par tout ce tapage médiatique), mais en plus, bourd'aile... J'ai beau personnellement ne pas être spécialement pour le mariage (ni contre non plus hein, juste... indifférent... Sauf un mariage païen, parce que c'est fun), merde, le principe MEME de ce truc à part payer moins d'impots c'est de cimenter un couple genre "on y croit pour la vie", non ? Et vous vous souvenez de la définition du couple ? Des trois C ? Complicité, Communication et CONFIANCE (avec le 4eme C bonus, le Cul). Vous vous voyez cimenter un truc sur la confiance en vous rendant compte le premier jour que l'autre vous a fait avaler une couleuvre ? Même si elle vous propose d'avaler autre chose, en compensation ?

Donc oui, certes, le fait de vouloir absolument une épouse vierge, c'est un peu démodé comme critère. Oui, certes, c'est probablement motivé par les croyances du monsieur (même si ce ne sont pas des obligations religieuses, loin de la, citons encore le fameux prophete dont 8 des 9 épouses avaient déjà taquiné le gueux avant de s'acheter une "bonne conduite"). Mais même si le type est peut être un connard fini, il n'en reste pas moins indéniable que la virginité de madame était une des clauses sine qua non du mariage. Confiance et contrat ont été rompus. Le mariage est donc annulé. Et c'est normal...

Just my two cents...

La citation du jour : "Y'en a plus que pour ton bidule"
La chanson du jour : Mr. Brightside, The Killers, "And I just can't look, it's killing me and taking control"

Même si je n'arrive pas à connecter ma nouvelle PS3 au réseau, la vie est belle !

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***Article(s) en date du 22.5.08***

Sa tête sur mon épaule

Ou : Chroniques d'un week end tout doux

La fatigue a fini par me rattraper cette semaine - oublier le p'tit Red Bull de 10h pour tenir la matinée de cours à donner, c'est le Mal(tm). La fatigue est uniquement physique, et non mentale, probablement le reliquat de pas-assez-de-sommeil de ce week end, passé à quelques heures de mon chez moi, dans ce plat pays qui est le sien.

Trois jours donc (un peu moins, certes) passés chez Off. Mais si, Off, rappelez vous, l'an dernier, la demoiselle piquant ma curiosité, et dont nous n'étions finalement ni elle, ni moi, tombés fous amoureux l'un de l'autre lors de notre première rencontre ? C'est bon vous remettez ?

Bien. C'est quasiment un an plus tard, donc, après ma dépression et ses escapades en Australie, que nous nous sommes revus "in the flesh" chez la demoiselle. Dans le fameux plat pays. Vu qu'elle est belge. Suivez, un peu!

Bref. Où commencer et comment résumer ces petites bulles acidulées (petites bulles "sûres" ?) et ce temps qui passe trop vite. You and me and five bucks, tiré droit de Reality Bites. Beaucoup de conversation, de confidences, une paire de DVD et un peu plus de verres d'alcool. Un monsieur Platypus. Gay, de surcroit. Une analyse psychologique. Un jeu très intéressant. Deux feuilles qui ne servent à rien. Un peu de sa peau, et un peu de mes doigts, aussi, en cocktail. Une veillée jusqu'à sept heures du matin, et une autre jusqu'à houitte. Des cernes, mais des sourires, aussi. Une petite Off un peu paumée parfois (comme moi un peu, en fait), zig-zaguant dans des bras d'hommes qui la comprennent si peu qu'elle ne se comprends plus. Alors elle tangue entre les pierres et les graines de tournesol qu'elle mange avec moi pour faire pousser des soleils dans son coeur, peut être, un jour.

Je ne suis toujours pas tombé amoureux d'elle, et elle n'est toujours pas tombé amoureuse de moi. Mais ce week end était tout doux, tout doux, et exactement ce dont j'avais besoin. Et je suis rentré du plat pays avec le manque qui me ronge, ce manque d'elle et cette cruelle distance qui est devenue coupure aigue entre nous. Parce que les gens dont je me sens proche, j'ai besoin de les voir, de les respirer, de les toucher. Et dans l'intimité des silences de ce week end, parfois, cette absence de mots était le son de deux personnes qui se rapprochent. Cette nouvelle souffrance est un mal pour un grand bien. On se reverra, bientôt. Parce qu'il faut. Parce qu'on ne s'aime pas. Mais parce qu'on s'aime bien, en vrai.

Et au milieu d'un silence, sa tête sur mon épaule.

Et ça fait toute la différence.

La citation du jour : "Et ça ne comble pas cette envie de faire battre mon coeur, c'est ça que j'veux, un coeur qui bat, sinon j'me sens mourir"
La chanson du jour : Le tunnel d'or, Aaron, "Prends mes soupirs, donne moi des larmes. A trop mourir on pose les armes"

Même si Bruxelles, putain c'est loin, la vie est belle !

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***Article(s) en date du 20.5.08***

Teletubbies MMORPG

J'attends Aion.

C'est indéniable, j'ai envie de pouvoir tester ce nouveau MMO qui pourrait être surnommé "bôôôôôôô". Ne riez pas, j'avais acheté Guild Wars juste pour ça.

Bref.

En attendant Aion, j'avais donc besoin de satisfaire mon besoin de "bôôôôô". Vu que WoW, c'est bien sympathique, mais de là à dire que c'est super beau, il y a un monde que je ne franchirai pas, n'ayant en moi aucune vocation à entamer une quete frodozienne quelconque en Terra Incognita.

Besoin de satisfaire mon besoin de beau, donc, ce qui m'a finalement poussé à acheter Lineage 2 sur un coup de tête, parce qu'il n'était pas cher et parce que les screenshots et certains points même du concept (l'un des buts avoué du jeu pour un personnage étant de rejoindre la Noblesse) me narguent depuis quelques années.

Eh bien sachez que ce jeu a battu mon record personnel du "jeu acheté où j'ai joué le moins longtemps". Il aura fallu moins d'une heure de jeu pour m'en lasser. Peu de différences entre les skins des personnages, et un jeu disons... mmmmh... comment dire... mmmmh... disons que je dis "répétitif", tous les jeux répétitifs vont se sentir vexés face à leur immense originalité, comparés à L2. Le petit village de Noobland aurait pu ne pas me déranger. Le fait de n'y trouver qu'une quete non plus. Le fait que cette quete soit une quete de grind, admettons. Le fait que ce grind demande de tuer CENT loups, soyons fous, c'est un jeu coréen, on savait qu'il allait y avoir du grinding. Mais que lorsque, quete acceptée, loups cherchés, loups tués, quete rendu, la quete suivante soit "Génial jeune aventurier ! Tu veux pas en tuer cent de plus ?" non, clairement, ça n'est pas passé.

J'ai donc en bougonnant joué encore quelques minutes, essayé un autre perso d'une autre classe dans une autre zone de départ, mais rien n'y fit, c'était le même principe. Poubelle, donc.

Alors pourquoi ce titre ? Parce que je pense vraiment que Lineage 2 est Teletubbies MMO, en déguisé. Outre le fait que le côté répétitif du jeu fait écho à celui du programme télévisé pour enfants sus-nommé (où chaque reportage est pour une mystérieuse raison diffusé deux fois de manière consécutive dans chaque episode), j'avais bien évidemment créé une elfe (je vous avais dit que je voulais du "bôôôôô"). Et je vais vous livrer un grand secret :

Dans Lineage 2, les elfes ont été crées par les dieux avec du sang cloné de Lala des Teletubbies.

Chaque fois que l'elfette se prends un vilain coup, ou s'assoit, ou utilise une quelconque emote ? Elle couine. Elle ne soupire pas, elle ne parle pas, elle ne crie pas. Elle couine, avec une voix de petite fille japonaise dopée à l'exta doublant un porno. Bref ? Comme la voix de Lala dans les Teletubbies. Non, clairement, ce n'est pas un jeu pour moi

La citation du jour : "C'est comme la danse du ventre mais avec le pied"
La chanson du jour : No contest, Sharko, "I'll make you notice that no contest, I am the best"

Même si c'était un achat dans le vent, la vie est belle !

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***Article(s) en date du 14.5.08***

Le barayne de Senquisse

ou : comment faire deux titres avec des jeux de mots à la con en moins d'un mois

Cher lecteur, jolie lectrice, j'ai bien vu dans ton regard réprobateur que ma dernière intervention, ce décortiquage de playlist déguisé en article, n'avait pas réussi a tromper ton oeil inquisiteur et malin. Mais ne t'inquiète pas, cet article, lui, n'est pas une fumisterie mais un article, un vrai comme tu les aimes (et toi, 'Stance, tu re-aimes ?)

Pourquoi mon ron devient-il Rayne, donc, se demanderont tous ceux de mes fidèles lecteurs qui n'ont pas forcément les même lectures informatiques quotidiennes que les miennes. Ce titre (et donc, a demi mots, cette article) fait donc référence à Rayne, le personnage tiré du webcomic "Least I Could Do" dans lequel, si l'on excepte le côté désinvolte limite gougeat de son comportement envers la gent féminine, je me retrouve beaucoup dans sa manière de pensée - ce qui trahis tout simplement une espèce de gemellité discrète entre son auteur et moi. Mais cette gemellité n'est qu'un tremplin dans cet article pour vous parler de ma nouvelle drogue, que je partage désormais avec ledit Rayne (et, soit dit en passant, avec Ryan Sohmer, l'auteur sus-cité).

Je suis devenu aficionado du Red Bull.

Vous savez, cette boisson qui a fait tant couler d'encre sur l'hexagone, avant d'être "légalisée" chez nous le mois dernier après 12 ans d'interdiction. Ce concentré maousse de caféine et de taurine censé vous "booster" physiquement et mentalement. Eh bien vous savez quoi ? Ca marche.

Oh, ne t'affole pas tout de suite, joli lectrice, jeune lecteur. Déjà, je ne peux pas me prononcer pour la partie physique. Malgré mon abonnement 2008 dans un centre de fitness et de ma régularité presque systématique dans mes visites au dit centre, je m'estime bien mal placé pour vous parler des quelconques effets de ce breuvage sur les performances physiques, n'ayant pas assez de données sur le long terme ou sur l'avant/après pour faire des comparaisons.

Non, c'est bel et bien sur le plan mental que je veux vous vanter les mérites de cette cocaine du pauvre (Bonne cocaine : 100 euros le gramme. Vrai Red Bull : 1 euro la dose + le voyage au Luxembourg). Accusez moi de faire l'apologie d'un produit interdit chez nous --le vrai Red Bull, pas la cocaine, j'y reviens plus bas-- ou de m'aveugler en faisant une panacée d'un placebo, mais à mes yeux en tout cas la différence est flagrante. Mes facultés de concentration sont accrues, je n'ai plus de coup de pompe en corrigeant des copies ou en meublant le temps pendant que mes classes planchent sur un contrôle, je ne somnole plus quand arrive une heure du matin durant une partie de jeu de rôles.

Je suis donc devenu l'un des nombreux disciples fidèles de la boisson en emballage bleu et argent. Malgré l'interdiction de vente chez nous car oui, ne vous y trompez pas, le Red Bull que vous pouvez trouver dans les hypermarchés français depuis avril n'est qu'un sous-Red Bull, une boisson avec vaguement le même gout mais pas la même composition (un peu moins de cafeine et la taurine remplacée par un autre acide aminé). Fort heureusement, ma situation géographique proche du Luxembourg me permet de pouvoir me procurer le produit original sans trop d'effort.

Bref, depuis cette découverte, ma vie a changé, c'est une nouvelle histoire d'amour. Et en plus j'aurais moins envie de cocaine pendant les semaines de grosses fatigue. Bref, pour citer Hime, c'est que du bonheur !

La citation du jour : "Je cherche la personne pour la création des relations sérieuses et la rencontre"
La chanson du jour : Le super toucan Toco, Les animaux du monde, "Le long du cou de la girafe je glisse, arrivé en bas ha ha ! L'éléphant me hisse !"

Même si le Red Bull français est un faux, la vie est belle !

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***Article(s) en date du 8.5.08***

La radio de mai

Oui, je sais, techniquement, j'ai une semaine de retard, mais bon, débordé, tout ça tout ça, et puis des réunions importantes et des sorties incontournables (Iron Man !!!!) m'ont tenu loin de vous. Mais certainement moins longtemps que les longues semaines de déprime du début d'année...

Bref, voici venu le temps de la radio de mai, donc, à nouveau autour d'un thème. Ce mois ci, ce sera les drogues en tout genre, pour me rappeler que je n'ai toujours pas terminé d'écrire la partie "drogue" de ma trilogie sexe, drogue & rock'n'roll.

01 - Eric Clapton, Cocaine. En live. Parce que cette version c'est un véritable orgasme musical. Et oui, techniquement, c'est écrit contre la cocaine à la base... mais pourtant... Cette chanson est aussi bien réussie que l'apologie de Matmatah pour le cannabis, uhu

02 - John Lennon, Cold Turkey. Encore une version live que je trouve supérieure à l'originale, on sens toute la douleur de Lennon dans cette chanson sur le sevrage qui sens le vécu.

03 - Jefferson Airplane, White Rabbit. Chanson sur Alice et le lapin blanc... et sur le LSD, accessoirement :)... Groupe cultissime des années 60/70, malheureusement méconnu de nos jours.

04 - Liquido, Narcotic. Un groupe allemand pour une chanson qui compare diverses drogues à l'amour... Ou compare t'elle l'amour à des drogues ? Bref...

05 - The Beatles, Happiness is a warm gun. Parce que mettre Lucy in the Sky with Diamonds aurait été trop prévisible. Je préfère vous laisser entendre Lennon chanter "I need a fix 'cause I'm going down"

06 - Placebo, Pure morning. A friend with weed is better... J'adorais cette chanson quand elle est sortie, jusqu'à ce que je sois super déçu par leur prestation sur scène en première partie de U2 pour le Pop Mart tour

07 - David Bowie, Never Get Old. J'ai hésité avec Station to Station mais c'était trop long. Et c'est vrai que "There's never gonna be enough drugs" ou "There's never gonna be enough sex" ^_^

08 - Depeche Mode, Sweetest Perfection. Le plus difficile, lorsqu'il faut choisir une chanson de Depeche Mode pour parler de drogue, c'est JUSTEMENT d'en choisir une parmi la multitude. Sweetest Perfection me semble la plus représentative.

09 - Morrissey, Interesting Drug. Là encore, le titre de la chanson de Moz parle de lui même.

10 - Matmatah, L'apologie. Spécial dédicace à ma Loolah avec qui j'ai été voir Matmatah en concert y'a 2 ou 3 ans

11 - The Velvet Underground, Heroin. L'héroine, c'est le Mal(tm). Mais j'adore cette chanson de Lou Reed et du Velvet. Comme quoi...

12 - Francis Lalanne, Marteau Piqueur. Une chanson hurlée avec les tripes, sur les méfaits de l'heroine. Qui, rappelons-le du dessus, est le Mal(tm)

13 - Marilyn Manson, The Dope Show. Encore un choix difficile étant donné qu'il y a deux excellentes chansons sur le même thème sur l'album Mechanical Animals. L'autre, au titre génial, est "I dont like the drugs but the drugs like me". Mais Dope Show me rappelle trop de bons souvenirs pour l'exclure de cette playlist.

14 - The Dandy Warhols, Heroin is so passe. Encore une chanson qui dit que l'heroine, c'est le Mal(tm) par un petit groupe malheureusement méconnu... Ils ont d'ailleurs fait la première partie de David Bowie au Galaxie d'Amnéville pendant le Reality tour, et j'étais l'un des seuls hystériques à connaitre leurs chansons par coeur et à m'époumonner pendant cette première partie. Que de souvenirs !

15 - Blur, She's so high. Et on termine sur une chanson de planage de nos amis britons :)

Avant de vous quitter, j'essaie d'insérer un sondage. Eh oui, j'innove :)

Edit : mon WAC (Widget à la con) ne fonctionne pas, il n'y a que moi qui vois mon sondage. Et là du coup, ça sert à rien... Donc je vous demande de bien vouloir répondre à ce sondage dans les commentaires, merci :)...
Préférez vous :
* Une radio thématique tous les mois
* Une radio evolutive en fonction des articles et qui incorpore les "chanson du jour"

La citation du jour : "Mais il faut se mettre en maillot de bain !"
La chanson du jour : Cannabis, Serge Gainsbourg, "Est-ce un maléfice ou l'effet subtil du cannabis ?"

Même si la cocaine, c'est cher, la vie est belle !

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