E comme... Ecriture
Que tous ceux qui n'avaient pas deviné cette lettre aillent se flageller avec des orties fraîches, filmer la scène, et la diffuser sur Dailymotion. J'ai dis TOUS. Je veux bien négocier toute autre humiliation ridicule à la place de la flagellation, mais c'est bien parce que c'est vous.
Ecriture, donc.
Je ne sais plus quand j'ai commencé à écrire pour écrire, mais ça devait être peu de temps après avoir su assembler des lettres ensemble pour créer du sens. J'ai la chance et la malchance d'avoir une imagination débordante, nécessitant régulièrement d'en évacuer le trop plein. Et quand ça doit sortir, ça sort par l'écriture.
Mon écriture est protéiforme. Elle a commencé par des petites histoires débiles, des scénarios de comic books, des "fan fics" (spécial dédicace pour Tiff) de mes dessins animés préférés quand j'étais môme, puis au fil du temps des histoires un peu plus complexes, des chansons, puis des poèmes, des réflexions sur la vie, l'univers et le reste, et un blog (mais ça vous êtes au courant).
Il y a la thèse, au point mort à mon grand dam pour l'instant faute de temps (reprise en 2009), et les romans sur lesquels je travaille, celui qui est presque fini, et les deux autres en cours quand je veux écrire autre chose que le premier.
Il y a mes petites fiches, sur lesquelles je griffonne des mots nouveaux, ou des citations qui me plaisent des livres que je dévore. Les petits carnets que je remplis de pensées, toujours un dans la poche, toujours. Et maintenant, emails et une tétrachiée de SMS.
Je n'arrive pas à concevoir celui que je pourrais être sans l'écriture. En fait, je pense que c'est tout simplement impossible. Sans même parler de sombrer très probablement dans la folie - enfin, encore plus que maintenant, j'entends - je pense que cet excès de mots et de sens qui s'accumulerait en moi finirait par me faire gonfler comme une baudruche avant l'inéluctable explosion.
Ce n'est pas du sang qui coule dans mes veines, ce sont les mots de mes joies et de mes pleines, mes veines sont les lignes du cahier sur lequel, lettre à lettre, j'écris tout doucement ma vie, un peu brouillon, mais rien n'est jamais plus intense qu'un premier jet qui vient du coeur...
La citation du jour : "En ligne rien que pour toi"
La chanson du jour : Death is not the end, Nick Cave and the Bad Seeds (Bob Dylan cover), "When you're sad and when you're lonely And you haven't got a friend, Just remember that death is not the end"
Même si mes pensées dépassent parfois mes mots, la vie est belle !
Ecriture, donc.
Je ne sais plus quand j'ai commencé à écrire pour écrire, mais ça devait être peu de temps après avoir su assembler des lettres ensemble pour créer du sens. J'ai la chance et la malchance d'avoir une imagination débordante, nécessitant régulièrement d'en évacuer le trop plein. Et quand ça doit sortir, ça sort par l'écriture.
Mon écriture est protéiforme. Elle a commencé par des petites histoires débiles, des scénarios de comic books, des "fan fics" (spécial dédicace pour Tiff) de mes dessins animés préférés quand j'étais môme, puis au fil du temps des histoires un peu plus complexes, des chansons, puis des poèmes, des réflexions sur la vie, l'univers et le reste, et un blog (mais ça vous êtes au courant).
Il y a la thèse, au point mort à mon grand dam pour l'instant faute de temps (reprise en 2009), et les romans sur lesquels je travaille, celui qui est presque fini, et les deux autres en cours quand je veux écrire autre chose que le premier.
Il y a mes petites fiches, sur lesquelles je griffonne des mots nouveaux, ou des citations qui me plaisent des livres que je dévore. Les petits carnets que je remplis de pensées, toujours un dans la poche, toujours. Et maintenant, emails et une tétrachiée de SMS.
Je n'arrive pas à concevoir celui que je pourrais être sans l'écriture. En fait, je pense que c'est tout simplement impossible. Sans même parler de sombrer très probablement dans la folie - enfin, encore plus que maintenant, j'entends - je pense que cet excès de mots et de sens qui s'accumulerait en moi finirait par me faire gonfler comme une baudruche avant l'inéluctable explosion.
Ce n'est pas du sang qui coule dans mes veines, ce sont les mots de mes joies et de mes pleines, mes veines sont les lignes du cahier sur lequel, lettre à lettre, j'écris tout doucement ma vie, un peu brouillon, mais rien n'est jamais plus intense qu'un premier jet qui vient du coeur...
La citation du jour : "En ligne rien que pour toi"
La chanson du jour : Death is not the end, Nick Cave and the Bad Seeds (Bob Dylan cover), "When you're sad and when you're lonely And you haven't got a friend, Just remember that death is not the end"
Même si mes pensées dépassent parfois mes mots, la vie est belle !
Libellés : Baron de A à Z, Ecriture