Le barayne de Senquisse
ou : comment faire deux titres avec des jeux de mots à la con en moins d'un mois
Cher lecteur, jolie lectrice, j'ai bien vu dans ton regard réprobateur que ma dernière intervention, ce décortiquage de playlist déguisé en article, n'avait pas réussi a tromper ton oeil inquisiteur et malin. Mais ne t'inquiète pas, cet article, lui, n'est pas une fumisterie mais un article, un vrai comme tu les aimes (et toi, 'Stance, tu re-aimes ?)
Pourquoi mon ron devient-il Rayne, donc, se demanderont tous ceux de mes fidèles lecteurs qui n'ont pas forcément les même lectures informatiques quotidiennes que les miennes. Ce titre (et donc, a demi mots, cette article) fait donc référence à Rayne, le personnage tiré du webcomic "Least I Could Do" dans lequel, si l'on excepte le côté désinvolte limite gougeat de son comportement envers la gent féminine, je me retrouve beaucoup dans sa manière de pensée - ce qui trahis tout simplement une espèce de gemellité discrète entre son auteur et moi. Mais cette gemellité n'est qu'un tremplin dans cet article pour vous parler de ma nouvelle drogue, que je partage désormais avec ledit Rayne (et, soit dit en passant, avec Ryan Sohmer, l'auteur sus-cité).
Je suis devenu aficionado du Red Bull.
Vous savez, cette boisson qui a fait tant couler d'encre sur l'hexagone, avant d'être "légalisée" chez nous le mois dernier après 12 ans d'interdiction. Ce concentré maousse de caféine et de taurine censé vous "booster" physiquement et mentalement. Eh bien vous savez quoi ? Ca marche.
Oh, ne t'affole pas tout de suite, joli lectrice, jeune lecteur. Déjà, je ne peux pas me prononcer pour la partie physique. Malgré mon abonnement 2008 dans un centre de fitness et de ma régularité presque systématique dans mes visites au dit centre, je m'estime bien mal placé pour vous parler des quelconques effets de ce breuvage sur les performances physiques, n'ayant pas assez de données sur le long terme ou sur l'avant/après pour faire des comparaisons.
Non, c'est bel et bien sur le plan mental que je veux vous vanter les mérites de cette cocaine du pauvre (Bonne cocaine : 100 euros le gramme. Vrai Red Bull : 1 euro la dose + le voyage au Luxembourg). Accusez moi de faire l'apologie d'un produit interdit chez nous --le vrai Red Bull, pas la cocaine, j'y reviens plus bas-- ou de m'aveugler en faisant une panacée d'un placebo, mais à mes yeux en tout cas la différence est flagrante. Mes facultés de concentration sont accrues, je n'ai plus de coup de pompe en corrigeant des copies ou en meublant le temps pendant que mes classes planchent sur un contrôle, je ne somnole plus quand arrive une heure du matin durant une partie de jeu de rôles.
Je suis donc devenu l'un des nombreux disciples fidèles de la boisson en emballage bleu et argent. Malgré l'interdiction de vente chez nous car oui, ne vous y trompez pas, le Red Bull que vous pouvez trouver dans les hypermarchés français depuis avril n'est qu'un sous-Red Bull, une boisson avec vaguement le même gout mais pas la même composition (un peu moins de cafeine et la taurine remplacée par un autre acide aminé). Fort heureusement, ma situation géographique proche du Luxembourg me permet de pouvoir me procurer le produit original sans trop d'effort.
Bref, depuis cette découverte, ma vie a changé, c'est une nouvelle histoire d'amour. Et en plus j'aurais moins envie de cocaine pendant les semaines de grosses fatigue. Bref, pour citer Hime, c'est que du bonheur !
La citation du jour : "Je cherche la personne pour la création des relations sérieuses et la rencontre"
La chanson du jour : Le super toucan Toco, Les animaux du monde, "Le long du cou de la girafe je glisse, arrivé en bas ha ha ! L'éléphant me hisse !"
Même si le Red Bull français est un faux, la vie est belle !
Cher lecteur, jolie lectrice, j'ai bien vu dans ton regard réprobateur que ma dernière intervention, ce décortiquage de playlist déguisé en article, n'avait pas réussi a tromper ton oeil inquisiteur et malin. Mais ne t'inquiète pas, cet article, lui, n'est pas une fumisterie mais un article, un vrai comme tu les aimes (et toi, 'Stance, tu re-aimes ?)
Pourquoi mon ron devient-il Rayne, donc, se demanderont tous ceux de mes fidèles lecteurs qui n'ont pas forcément les même lectures informatiques quotidiennes que les miennes. Ce titre (et donc, a demi mots, cette article) fait donc référence à Rayne, le personnage tiré du webcomic "Least I Could Do" dans lequel, si l'on excepte le côté désinvolte limite gougeat de son comportement envers la gent féminine, je me retrouve beaucoup dans sa manière de pensée - ce qui trahis tout simplement une espèce de gemellité discrète entre son auteur et moi. Mais cette gemellité n'est qu'un tremplin dans cet article pour vous parler de ma nouvelle drogue, que je partage désormais avec ledit Rayne (et, soit dit en passant, avec Ryan Sohmer, l'auteur sus-cité).
Je suis devenu aficionado du Red Bull.
Vous savez, cette boisson qui a fait tant couler d'encre sur l'hexagone, avant d'être "légalisée" chez nous le mois dernier après 12 ans d'interdiction. Ce concentré maousse de caféine et de taurine censé vous "booster" physiquement et mentalement. Eh bien vous savez quoi ? Ca marche.
Oh, ne t'affole pas tout de suite, joli lectrice, jeune lecteur. Déjà, je ne peux pas me prononcer pour la partie physique. Malgré mon abonnement 2008 dans un centre de fitness et de ma régularité presque systématique dans mes visites au dit centre, je m'estime bien mal placé pour vous parler des quelconques effets de ce breuvage sur les performances physiques, n'ayant pas assez de données sur le long terme ou sur l'avant/après pour faire des comparaisons.
Non, c'est bel et bien sur le plan mental que je veux vous vanter les mérites de cette cocaine du pauvre (Bonne cocaine : 100 euros le gramme. Vrai Red Bull : 1 euro la dose + le voyage au Luxembourg). Accusez moi de faire l'apologie d'un produit interdit chez nous --le vrai Red Bull, pas la cocaine, j'y reviens plus bas-- ou de m'aveugler en faisant une panacée d'un placebo, mais à mes yeux en tout cas la différence est flagrante. Mes facultés de concentration sont accrues, je n'ai plus de coup de pompe en corrigeant des copies ou en meublant le temps pendant que mes classes planchent sur un contrôle, je ne somnole plus quand arrive une heure du matin durant une partie de jeu de rôles.
Je suis donc devenu l'un des nombreux disciples fidèles de la boisson en emballage bleu et argent. Malgré l'interdiction de vente chez nous car oui, ne vous y trompez pas, le Red Bull que vous pouvez trouver dans les hypermarchés français depuis avril n'est qu'un sous-Red Bull, une boisson avec vaguement le même gout mais pas la même composition (un peu moins de cafeine et la taurine remplacée par un autre acide aminé). Fort heureusement, ma situation géographique proche du Luxembourg me permet de pouvoir me procurer le produit original sans trop d'effort.
Bref, depuis cette découverte, ma vie a changé, c'est une nouvelle histoire d'amour. Et en plus j'aurais moins envie de cocaine pendant les semaines de grosses fatigue. Bref, pour citer Hime, c'est que du bonheur !
La citation du jour : "Je cherche la personne pour la création des relations sérieuses et la rencontre"
La chanson du jour : Le super toucan Toco, Les animaux du monde, "Le long du cou de la girafe je glisse, arrivé en bas ha ha ! L'éléphant me hisse !"
Même si le Red Bull français est un faux, la vie est belle !
Libellés : Cocaïne, Least I Could Do, Luxembourg, Red Bull