***** Et puis soudain, le vide Et soudain le silence Inaudible est le cri qu’a laissé son absence Ni plus ni moins d’angoisse Qu’il y a quelques heures Alors pourquoi ces ronces enroulées sur mon coeur? Sur mes joues l’air humide Laisse un baiser amer Mon esprit s’en détourne et regarde en arrière Pour contempler