Cela va faire bientôt deux ans que je connais Iris. Et cela va bientôt faire deux ans que j’ai ce nombril « en poche », bien au chaud, attendant sagement que je me remette à poster régulièrement sur Tears (je ne veux pas que le Nombriloscope ait une existence indépendante du blog, donc si je n’écris pas, pas de nouveaux nombrils! Et oui, j’en ai d’autres en attente…). On m’a présenté Iris dans une soirée parisienne, et j’ai tout de suite senti que c’était quelqu’un de bien (et pas seulement parce qu’elle est arrivée en plein milieu d’une discussion sur le Nombriloscope et m’a laissé photographier le sien moins de 15 minutes après les présentations…). Je ne m’étais pas trompé. Iris et son ami Simon, que je connaissais avant de la connaitre, font partie des plus belles rencontres que j’aie à accrocher à mes souvenirs, et se sont vite tous deux imposés comme des gens qui comptent beaucoup, beaucoup pour moi, ces gens qui sont comme des soleils qui mettent un peu plus de lumière dans votre vie. Et parfois, aussi, des nombrils: